La lune, base avancée ?
"L'armée des Etats Unis et l'US Air Force possèdent 122 photos prises par les astronautes sur la lune montrant une
présence extra-terrestre"
Colonel Philip Corso (1997): membre du Conseil National de Sécurité sous la présidence d'Eisenhower
Qu'ont-ils vu la haut
qui leur a fait peur au point d'interrompre les missions Apollo ?
Voici ce qui semble être la retranscription d'un dialogue entre la Nasa et Apollo XI...
NASA : "Qu'y a-t-il ? La tour de contrôle appelle Apollo XI..."
Apollo XI : "Ces bébés sont gigantesques ! Gigantesques ! Oh, mon dieu ! Vous n'allez jamais croire ça ! Je vous le dis, il y a d'autres vaisseaux spatiaux ici, alignés de
l'autre côté du cratère ! Ils sont sur la Lune et ils nous regardent ! "
Selon un certain Dr Aleksandr Kasantsev, Buzz Aldrin a même filmé des ovnis de l'intérieur de sa capsule, puis à l'extérieur, avec Armstrong. Armstrong a
confirmé ce récit mais a refusé d'entrer dans les détails. Il a cependant admis que la CIA lui avait intimé l'ordre de ne faire aucune communication sur ce sujet.
Une autre mission a fait l'objet d'une même stupéfaction :
Apollo : "Oh ! Il y a de la lumière derrière le cratère, des OVNI sont au-dessus de nous, ils nous regardent, ils paraissent hostiles."
NASA : "Nous sommes au courant, interrompez la communication, stoppez toute communication."
Quelques théories....
Différents mythes et légendes rapportent que jadis, il n'y avait pas de Lune dans le ciel. La Lune serait apparue au moment du Grand Déluge. C'est ce que pensaient les habitants du sud de la
Grèce antique, et différents peuples africains. On a cependant retrouvé des traces de flux et de reflux de marées dans ces régions. Or, comme chacun sait, c'est la Lune qui provoque ces flux et
ces reflux. Ceci semblerait a priori contredire la théorie de l'absence de Lune avant le Déluge. Mais rien ne permet d'affirmer qu'un autre corps céleste n'assurait pas alors cette fonction de
régulation des océans qui est aujourd'hui dévolue à la Lune. Selon d'autres sources, il y aurait jadis eu deux voire plusieurs lunes dans le ciel (Vénus?), mais l'influence qu'elles auraient pu
avoir sur la mer est impossible à établir.
"Certains scientifiques sont aujourd'hui persuadés que la Lune n'a pas toujours été notre satellite."
Les Mayas ont laissé des documents d'après lesquels c'est Vénus et non pas la Lune qui brillait la nuit au-dessus de leurs têtes. Car Vénus devait certainement avoir un aspect très différent
autrefois. Il y avait à Rome un historien qui était persuadé que le Déluge avait été provoqué par un changement d'orbite de Vénus. Et selon de nombreux mythes et légendes, la Lune serait apparue
dans le ciel après la dissipation des ténèbres consécutive au Déluge.
L'astronome allemand Gesterkorn pense que son âge est à peu près égal à la moitié de celui de la Terre. Selon sa théorie, après sa création, la Lune aurait commencé par orbiter loin de la Terre,
et c'est un autre corps céleste qui, en passant à proximité, l'aurait contrainte à changer d'orbite, puis elle aurait fini par se retrouver à emprisonnée dans la zone d'attraction
terrestre.
C'est alors que la Lune aurait acquis son influence sur l'élément eau. L'approche de la Lune se serait traduite par des marées gigantesques, des éruptions volcaniques et des tremblements de
Terre. Les vagues avaient probablement la taille de montagnes, les volcans crachaient du feu et l'eau était en ébullition. Et le nouveau satellite de la Terre fut sans doute à l'origine du
Déluge.
Il existe de nombreuses autres théories concernant la formation de la Lune. L'une d'entre elles considère notre satellite comme une création des aliénigènes (= extraterrestres n'appartenant pas à
une race humanoïde). Selon cette théorie, c'est un endroit où des aliénigènes disposeraient de bases, de centres de communication, et ce genre de choses. Il y en a même qui sont persuadés que la
Lune est un ovni gigantesque camouflé en planète morte.
La menace des météorites est devenue un thème à la mode. Il y a des films sur ce sujet, des articles et des études scientifiques, des émissions télévisées consacrées à ce qui pourrait arriver si
un météorite entrait en collision avec la Terre. Les météorites sont petits en comparaison des planètes, mais il en existe de très gros, dont l'impact suffirait à détruire toute trace de vie sur
la Terre.
Il semble logique de supposer que les corps célestes de petite taille soient des fragments d'éléments plus gros. C'est pourquoi les météorites pourraient être des morceaux de planètes.
L'astrophysicien Anatoly Chernyaeyv estime que c'est exactement ce qui s'est produit lors de la collision du météorite Tunguska avec la Terre. Selon sa théorie, une partie de la Terre s'est jadis
dissociée d'elle-même et est partie dans le ciel. Mais elle n'a pas réussi à sortir du champ de gravitation terrestre et elle est retombée sur la Terre. Bien sùr, il est absolument impossible de
prouver la véracité d'une telle théorie, car s'il y a eu des témoins d'un tel phénomène, ils sont de toutes façons tous morts depuis longtemps. Mais selon cette approche des choses, la Lune
pourrait n'être qu'un fragment de la Terre, qui n'aurait pas réussi à échapper à la gravitation terrestre.
aussi...
Selon 2 chercheurs russes, Mikhaïl Vassine et Alexandre Chtcherbakov, la Lune serait un astre creux. Selon les calculs de la densité de la Terre et de la Lune, il y aurait à l'intérieur de cette
dernière un vide incontestable. Ils auraient déterminé la nature de l'enveloppe de la Lune en 2 coques superposées dont celle située à fleur de croùte, aurait une épaisseur de 4 km et servirait à
stopper les météorites.
Extrêmement résistante, cette première coque aurait arrêté la pénétration de météorites importantes à seulement 2 kms de profondeur, alors que, normalement, celles-ci aurait dù pénétrer jusqu'à
environ 50 kms de profondeur. La seconde coque mesurerait environ 30 kms d'épaisseur. A l'intérieur de l'astre, un immense trou pourrait abriter une infrastructure artificielle et une vie
intelligente. Ainsi, pourraient s'expliquer les impacts visibles à l'œil nu de météores extrêmement massifs que la Lune aurait rencontré et heurté dans sa course spatiale, avant de se mettre
autour de la Terre en orbite obligée, c'est-à -dire en ne présentant toujours que la même face, comme un gigantesque microscope étudiant la Terre.
Ainsi pourrait aussi s'expliquer le phénomène extraordinaire qui se produisit lorsque, une douzaine d'heures après le retour des cosmonautes dans la cabine d'Apollo 11, le LEM, inutilisable,
s'écrasa sur la surface de la Lune. Celle-ci en trembla durant 2 h environ, d'après le sismographe qu'Aldrin et Armstrong installèrent à plusieurs centaines de kilomètres du point d'impact. Il
est curieux de constater que personne, sur le moment, ne songea à s'étonner qu'une masse ridicule de 16 tonnes ait pu ainsi faire trembler un volume de 1100 milliards de kms3.
D'autre part, une analyse des matériaux lunaires aurait prouvé que le satellite est plus vieux que la Terre elle-même, de 1 milliard d'années environ.
Qui peu paraître un peu moins farfelu, quoi que...
Des scientifiques et ingénieurs impliqués dans les projets d'exploration de Mars et de la Lune ont fait part des résultats de leurs découvertes lors d'une réunion du Club National de la Presse à
Washington, DC, le 21 Mars 1996. Ils révélaient pour la première fois la présence sur la Lune de structures et d'objets artificiels. Le discours des scientifiques était plutôt prudent et évasif,
et ne faisait pas référence aux OVNIs. Selon eux, l'existence de ces artéfacts était possible, mais cette information était en cours de traitement et ses conclusions seraient publiées
ultérieurement.
Il fut également mentionné lors de cette réunion que l'Union Soviétique possédait des preuves photographiques de la présence d'une telle activité sur la Lune. La nature de cette activité demeure
indéterminée mais ses traces seraient indéniables en de nombreux points de la surface lunaire, comme en témoigneraient les milliers de photos et vidéos provenant des vaisseaux Clementine et
Apollo. Des vidéos et des photos de ce dernier programme ont été projetées et beaucoup ont trouvé très surprenant que ce matériel n'ait pas été rendu public plus tôt. Les spécialistes de la NASA
ont répondu qu'il était difficile de prévoir les réactions du public devant la révélation que des créatures étrangères avaient foulé ou foulent peut-être encore le sol lunaire. Ils ajoutèrent
qu'il y avait également d'autres raisons à ce secret, et dont le contrôle dépassait la NASA elle-même. Le spécialiste des études lunaires Richard Hoagland a par ailleurs déclaré que la NASA
procédait toujours à la retouche des photos avant leur publication.
Hoagland, ainsi que d'autres chercheurs, avancent l'idée qu'une race extraterrestre a utilisé la Lune comme une base d'opérations spatiales durant leurs activités sur la Terre et qu'on en trouve
le reflet dans les mythes et légendes de nombreuses cultures terrestres. Les ruines des cités lunaires s'étendent sur plusieurs kilomètres. D'immenses dômes aux fondations massives, des tunnels
et autres constructions poussent les scientifiques à réviser leurs opinions sur les origines de la Lune et les paramètres de sa révolution orbitale.
Ces structures lunaires, dont certaines sont dans un état de délabrement avancé, possèdent une organisation et une géométrie
si complexe qu'elles ne peuvent être assimilées à des formations géologiques naturelles. Il existe par exemple sur le bord supérieur de Rima Hadley, non loin du site d'atterrissage d'Apollo XV,
une construction entourée d'une haute muraille en forme de D. Le Centre de Vol Spatial Goddard et l'Institut de Planétologie de Houston, qui étudient ces artéfacts, les ont répertoriés sur 44
régions. De mystérieuses excavations en forme de terrasse ont été observées près du cratère Tiho (sic ; Tycho ?). Il est improbable que ces excavations concentriques hexahedriques, ainsi que
l'entrée du tunnel adjacente à la terrasse résultent de processus géologiques naturels. En fait, elles ressembleraient assez à des entrées de galeries de mines.
Près de Copernic, un dôme transparent s'élève au bord du cratère, illuminé de l'intérieur par une étrange lueur blanc-bleue. Au nord de la région de l'Usine, on observe un objet tout-à -fait
inhabituel, même au regard des critères lunaires : un disque de 50 m de diamètre posé sur une embase carrée entourée de murs. On peut aussi voir sur l'image, près du losange, une ouverture
circulaire dans le sol, qui fait penser à l'entrée d'un souterrain. Entre l'Usine et le cratère Copernic, il y a une sorte d'esplanade rectangulaire de 400 m de long sur 300 de large.
L'une des photos prises par la mission Apollo X (AS10-32-4822) montre une structure d'un mile (1.6 km) de long appelée le " Château ", située à une hauteur de 14 km et qui projette une ombre
distincte sur la surface lunaire. L'objet paraît être composé de plusieurs unités cylindriques [et d'une large unité conjointe] (?). Sur l'une des images, la structure interne du " Château "
parait poreuse, de sorte que certaines de ses parties semblent transparentes.
De nombreux scientifiques de la NASA assistaient à cette conférence, mais lorsque Richard Hoagland demanda à voir les originaux des photos du " Château ", ceux-ci avaient disparu ! Ils se
trouvèrent même inexplicablement absents de la liste des images d'Apollo X. Comme par hasard, les archives ne recelaient que quelques photos intermédiaires qui, malheureusement, ne montraient pas
la structure interne de l'objet.
Au moment où Apollo XII se posa sur la Lune, l'équipage s'aperçut qu'il était observé par un objet pyramidal, semi-transparent, qui planait immobile à quelques mètres à peine au-dessus du sol et
chatoyait de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel contre le ciel noir. En 1969, on projeta le film du voyage des astronautes vers la Mer des Tempêtes (ces hommes aperçurent à nouveau ces étranges
pyramides, que l'on appela plus tard les " verres dépolis ") et la NASA prit enfin conscience des conséquences possibles de cette forme de contrôle. Après son retour réussi, l'astronaute Mitchell
confia ses impressions : - Nous sentions bien que nous n'étions pas seuls. Je devais me retourner si souvent pour regarder derrière moi que j'en ai encore le torticolis ! La seule chose que nous
pouvions faire était prier !. Johnston, du Centre Spatial de Houston, avait étudié les photos et vidéos du programme Apollo et s'entretint avec Richard Hoagland au sujet des artéfacts. Selon lui,
la direction de la NASA était terriblement embarrassée devant le nombre de ces " anomalies ", pour employer un euphémisme, et il était même possible qu'elle décide d'arrêter les vols habités vers
la Lune.
D'anciennes structures lunaires en partie en ruines intéressent particulièrement les chercheurs. Les photos révèlent des constructions carrées et rectangulaires d'une surprenante régularité
géométrique et qui ressemblent à nos propres cités terrestres vues d'une altitude de 5 à 8 km. Un spécialiste du contrôle de mission fit ce commentaire :
- Nos gars ont observé sur la Lune des cités en ruines, des pyramides transparentes, des dômes, et Dieu sait quoi d'autre, dont les photos dorment maintenant au fond des coffres de la NASA. Ils
comprenaient ce que Robinson Crusoé avait dû éprouver lorsqu'il tomba soudain sur des empreintes de pas dans le sable d'une île qu'il croyait déserte !
Devant les images de ces cités et autres objets lunaires étranges, l'opinion des géologues et scientifiques est unanime : ces objets ne peuvent être naturels. " Nous sommes forcés d'admettre,
disent-ils, qu'ils sont artificiels, en particulier les dômes et les pyramides ".
Source : http://www.ovni-france.fr/index.php?ou=articles&id_article=65&id=27