Gerald Tedesco, BSc. et John Tedesco, M.Ed., BSEE, CET, tous deux affiliés au Harvard Galileo Project , ont publié le 27 août un rapport sur l' étude qu'ils ont menée pendant près d'un an le long de la côte est des États-Unis, près de Long Island.
À l’aide d’un camping-car personnalisé équipé de capteurs avancés, ils ont réussi à enregistrer des données sur des objets qu’ils ne pouvaient pas identifier.
Depuis juillet 2022, nous avons observé un phénomène lumineux qui se présentait le plus souvent comme un sphéroïde sous un état lumineux, alors que sous une luminosité diminuée, il semblait afficher morphologiquement une apparence polyédrique.
Peu d'observations apparaissaient comme ovaloïdes et cylindroïdes.
Ces objets présentaient également des caractéristiques physiques inhabituelles : états fluctuants d’albédo, scintillement, rotation, variations de la gamme spectrale et changement d’état de lumineux à illuminé.
Ce phénomène lumineux a parfois montré un comportement semblable à celui d'un essaim qui ne correspondait pas à un modèle de trafic aérien régulier et ne pouvait pas être vérifié par les données de surveillance dépendante automatique en diffusion (ADS-B) (FCC, 2023).
Ces observations rappellent des témoignages antérieurs de pilotes de l’armée de l’air, qui ont signalé en 2014 et 2019 de nombreux objets violant l’espace aérien américain.
Durant cette période, nous avons observé des phénomènes lumineux étranges fréquentant les côtes, particulièrement plus abondants sur et au large de la côte sud.
Les objets inconnus semblent insaisissables et restent souvent juste en dehors de la gamme spectrale de la perception sensorielle humaine. Ils sont principalement visibles dans la bande passante infrarouge et peuvent occasionnellement être observés dans le spectre visible lorsque leur albédo/luminosité est suffisamment intense pour être vus.
Cela soulève la question de savoir si la signature optique de ces objets, qui se situent juste au-delà des capacités perceptives de l’œil humain, est une capacité de dissimulation, comme le rapportent souvent des témoins, ou simplement une coïncidence.
Dans les rares cas où ces objets et ces luminosités étaient perceptibles dans le spectre visible, ils prenaient des variations de fréquence de couleur, telles que le blanc, le bleu (parfois irisé), l'orange et le rouge.
Leurs comportements étaient parfois transitoires, aléatoires, indifférents et sans but, et il y avait des moments où ces objets démontraient une conscience de notre présence et un certain niveau d’organisation, d’intelligence et même d’interaction.
Bien qu'une telle affirmation puisse paraître étrange, les témoignages décrivent souvent non seulement les capacités et l'apparence remarquables de ces objets, mais aussi leur cinétique qui suggère une intention, comme s'ils travaillaient vers un objectif.
Il y a eu des cas où nous avons observé des phénomènes plus étranges, comme des objets lumineux qui apparaissaient soudainement et s'élevaient du sol, là où aucun n'avait été observé auparavant. Parfois, nous les voyions posés à la surface de l'océan ou passant en dessous sans perturber ce milieu ni émettre aucun son.
Ce type d'apparition, où des lumières sortent du sol, est similaire aux observations faites dans la vallée de Hessdalen en Norvège, où des lueurs semblaient émerger de sous la terre.
Nous avons noté quelques valeurs aberrantes intéressantes dans les analyses spectrales lors des présentations de ce phénomène. Les mesures des densités de flux de puissance du champ électromagnétique (le produit de la somme des champs électriques et magnétiques) ont détecté des signaux de 1,79 GHz et 4,066 GHz.
Nous avons également trouvé une relation corrélationnelle entre nos mesures Emf et les signaux ultrasonores inhabituels que nous avons détectés à plusieurs reprises lors des présentations du phénomène lumineux côtier. L'Emf et l'acoustique ont affiché des séparations de blocs de 40 KHz entre les signaux.
Ces types d'émissions radio ont également un précédent historique, comme dans le cas du RB-47, et ont été présentées lors d'une conférence de la NASA par le directeur du bureau de résolution des anomalies dans tous les domaines du Pentagone (AARO) comme étant les signatures de ces UAP inconnus.
Cela suggère que la source de ces signaux est fondamentalement technologique.
Ce podcast sur les ovnis a récemment interviewé les auteurs :
Une telle initiative est louable. Issue d'une longue tradition d'études de terrain utilisant les meilleures technologies disponibles, cette approche s'apparente davantage à l'observation du monde réel qu'à la science de laboratoire, où une expérience doit être reproduite pour être acceptée. Les sceptiques du phénomène ovni réclament trop souvent ce type de données de laboratoire malgré ses limites.
Dans les études de terrain, notamment en ce qui concerne les événements rares comme la foudre, la fiabilité des données dépend du protocole établi par les scientifiques sur le terrain. Attendre que la foudre frappe un bécher de laboratoire serait inefficace.
De même, le consensus scientifique n'accepte que depuis deux siècles le fait que des météorites tombent du ciel : comme de tels événements sont rares, il a fallu une étude de terrain prouvant qu'elle ne pouvait venir que de là pour que cette nouvelle théorie soit acceptée.
Alors que Sentinel News teste actuellement ses propres détecteurs dans la campagne française en prévision du déploiement de son observatoire mobile en janvier 2025, ce type d’étude approfondie reste d’une richesse unique.
Je vous invite à visualiser les vidéos en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://sentinelnews.substack.com/p/engineers-claim-to-have-recorded
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