Les rapports sur les enfants dits hybrides et les bébés hybrides sont particulièrement remarquables, en ce sens que les rencontres avec ces créatures quelque peu dérangeantes suivent le plus souvent certaines voies distinctes qui surgissent à maintes reprises.
Il y a, par exemple, assurément un pourcentage plus élevé de femmes enlevées qui ont eu des interactions avec les hybrides que d'hommes enlevés.
Il semble y avoir une très bonne raison à cela.
Sous régression hypnotique, de nombreuses femmes ont rapporté avoir été emmenées à bord d'un OVNI, ou, à plusieurs reprises, dans une installation souterraine, où elles sont présentées aux hybrides.
Bien sûr, le problème de la composante souterraine / des «petites personnes» s'ajoute aux rencontres de fées séculaires et au phénomène du changeling(dans le folklore européen, un changeling ou changelin est un leurre laissé par les fées, trolls, elfes, ou autres créatures du Petit peuple) à la place d'un nouveau-né humain qu'elles enlèvent.( qui a ses parallèles indéniables avec la scène OVNI d'aujourd'hui).
Dans de telles situations, la femme sera soit allongée sur quelque chose qui ressemble à une table d'opération, soit assise sur une chaise qui ressemble à une chaise de dentiste. C'est alors que quelque chose de remarquable se produit - bien que, certes, d'autres puissent le qualifier de terrifiant.
Sous le regard de la victime, un groupe de trois ou quatre petits gris extraterrestres s'approche, l'un d'eux tenant dans ses mains un petit bébé qui n'est pas entièrement humain, même s'il présente certains traits physiques et humains.
L'abductée est alors fortement encouragée à prendre le bébé du Grey dans ses bras et de le bercer.
Les chercheurs du phénomène ont suggéré, probablement à juste titre, que cette procédure est entreprise pour essayer d'instaurer un lien émotionnel entre l'abductée et l'hybride.
Si tout cela semble se dérouler apparemment de manière calme et tranquille, ce n'est souvent pas le cas.
Beaucoup de femmes enlevées qui signalent ce processus de liaison - ou tentative de liaison - se trouvaient quelques mois plus tôt, enceintes spontanément !
Pendant un certain temps, au moins, elles l'ont été. Il existe de nombreux rapports dans lesquels une abductée enceinte a fait une fausse couche soudaine et inexpliquée; un événement tragique, bien sûr. Ou y a-t-il simplement une supposition qu'il s'agissait de fausses couches? Très probablement, oui.
Ces mêmes kidnappées, lorsqu'elles sont en présence d'un bébé hybride, développent des impressions soudaines et inexpliquées que ce qu'on leur montre est leur bébé qu'elles portaient autrefois , et elles supposaient avoir fait une fausse couche.
Dans ce scénario, suggère un chercheur en abduction, les personnes enlevées sont fécondées lors d'un enlèvement antérieur, puis enceintes sans le savoir elles portent leur fœtus pendant un certain nombre de mois, puis il est retiré de la mère lors d'un enlèvement ultérieur, et essentiellement «grandi» dans ce que nous pourrions appeler un utérus artificiel.
Une sensation, une impression - certains pourraient dire d'un scandaleux scénario - certes, mais cette hypothèse ne peut pas être écartée.
La raison en est aussi étonnante que controversée : nous, la race humaine, travaillons maintenant - et travaillons dur et rapidement - pour développer des utérus artificiels.
Le processus de croissance d'un fœtus et de son achèvement dans un utérus artificiel s'appelle ectogenèse.
Une grande partie de la recherche en est encore à un stade théorique, principalement en raison des restrictions et des réglementations qui régissent l'utilisation éthique ou non éthique des embryons humains dans l'expérimentation.
Mais ce n'est pas tout.
Comme deux exemples parfaits, nous devons d'abord porter notre attention sur le Japon, et l'expérimentation entreprise en 1997, à l'Université Juntendo de Bunkyo, basée à Tokyo.
Le programme était dirigé par Yoshinori Kuwabara- le président du département d'obstétrique de l'université - qui a réussi à faire pousser des embryons de chèvre contenus dans une machine remplie de liquide amniotique, un liquide de couleur jaune contenu dans le sac amniotique et qui entoure le fœtus en croissance.
Ensuite, il y a le travail du Laboratoire d'endocrinologie de la reproduction de l'Université Cornell. En 2003 et en 2011, des succès significatifs ont été obtenus en soutenant des embryons dans des utérus artificiels. Dans l'expérience de 2003, l'embryon était celui d'une souris. Huit ans plus tard, cependant, ce n'était rien de moins qu'un embryon humain, qui pouvait se développer pendant dix jours - quatorze jours étant le délai légal absolu pour expérimenter avec des fœtus humains.
Il y a, cependant, un inconvénient potentiel, et il peut s'avérer être un gros inconvénient, si nous, en tant qu'espèce, décidions un jour de suivre cette voie sans éthique.
C'est la question du lien profond entre la mère et le fœtus à naître qui se développe rapidement lorsque la grossesse commence. Ou, à l'avenir, ce qui pourrait très bien être un manque flagrant de ce lien.
Pourrions nous imaginer dans un siècle à venir l'existence d'usine pour incuber à la chaîne des des bébés avec ce lien émotionnel et charnel complètement perdu ?
Pourrions-nous imaginer une race humaine, dans des centaines d'années, réduite à rien d'autre que des entités froides et sans émotion - en fait, tout comme les Gris - qui n'auront aucune compréhension de, ou ne se soucieront pas de l'angle émotionnel de ce que signifie être Enceinte ?
Une telle vision des choses, compte-tenu de la progression de la recherche dans ce domaine, n'est pas du tout à exclure.
Cette même situation peut également expliquer pourquoi les Gris sont obligés de présenter des enfants hybrides à des mères humaines, dans un effort pour induire des liens: les Gris sont totalement incapables de comprendre comment créer eux-mêmes ce lien.
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