Projet Camelot - Richard Hoagland

Le nom de Richard Hoagland – un guerrier viking barbu, toujours debout après toutes ces années – est inévitablement gravé dans l’esprit de tous ceux qui ont envisagé la possibilité que tout ne soit pas comme on nous fait croire sur la Lune et sur Mars. Informé et convaincu, et fier d’avoir été une épine dans le pied de la NASA pendant plus de vingt ans, Richard apparaît régulièrement en tant que conseiller scientifique sur Coast to Coast AM – et a écrit deux livres, dont le plus récent, Dark Mission, s’est hissé au sommet de la liste des meilleures ventes du New York Times.

 

Nous avons rendu visite à Richard à son domicile d’Albuquerque à deux reprises. La première, en décembre 2006, a donné lieu au genre de conversation animée et variée dans un restaurant qui aurait vraiment dû être enregistrée sur vidéo. La deuxième fois, un an plus tard, nous avons canalisé toute notre conversation sur la caméra – trois heures – et avons ensuite célébré cet entretien au restaurant. Nous avons tous les trois été ravis de ce que nous avions filmé.

 

Cet entretien, en 3 parties complètes, retrace d’abord le parcours personnel de Richard, puis une analyse photographique détaillée qui met en évidence la tromperie du public par la NASA pendant des décennies, et enfin ses vues et conclusions personnelles sur 2012.

 

Richard – franc et controversé comme toujours – a rassemblé une énorme quantité d’informations dans cette interview de près de 3 heures. Quelles que soient vos opinions personnelles sur la NASA, les missions Apollo ou l’éventuelle histoire réelle de notre système solaire et de ses explorations passées et présentes, vous trouverez ici des éléments qui éduqueront, informeront et stimuleront, et qui ne peuvent être ignorés.

 

 

 

Dark Mission – Richard Hoagland 

 

Ce n’est pas le gouvernement. Le gouvernement n’existe pas. Il y a plusieurs gouvernements, et ils sont en guerre les uns contre les autres.

 

Une vraie percée incroyable dans ce que la NASA et Viking prétendent chercher, la vie sur Mars, sauf que bien sûr, ils nous ont menti. Ils nous ont menti, ils nous ont menti et ils nous mentent sur ce sujet depuis 30 ans.

 

Donc la méthode scientifique n’est-elle pas là pour le vérifier ? 

 

Voulez-vous que les gens se rendent compte qu’il y a un moyen de faire les choses sans forer au Moyen-Orient et toute l’infrastructure politique et économique qui a été mise en place ? Non, je ne pense pas. Et ce plan est évidemment en place depuis 40 ans.

 

Chaque personne pourrait être souveraine tout à coup, parce quelle  disposerait d’une quantité illimitée d’énergie provenant d’une chose fonctionnant dans son sous-sol , et qu’elle n’aurait plus jamais à regarder ou à vérifier de toute sa vie.

Il suffirait d’actionner un interrupteur qui tirerait l’énergie de l’espace, d’une autre dimension. Ce serait hyper-dimensionnel. Non, pas si vous avez le contrôle, car c’est ainsi que vous contrôlez les gens. Vous les maintenez dépendants de vous pour les ressources essentielles de la vie.

 

Que lorsque la NASA irait dans l’espace, elle trouverait logiquement des preuves d’êtres peut-être plus avancés. Et elle a dit dans la charte, la Lune, Mars ou Vénus, que les êtres bien avancés devraient être créés par quelqu’un – n’est-ce pas ?

 

La résolution est paradoxale dans la mesure où Ed Mitchell a eu quelque chose à l’esprit.

 

Kerry : Oh, cette réponse, je la connaissais.

 

R : Les astronautes, je crois, ont été manipulés.

 

Kerry : Oui.

 

R : Il y a toutes sortes de documents qui sortent maintenant. La littérature ouverte sur les technologies, qui peut effacer de façon sélective vos souvenirs sur des événements spécifiques. Et je crois, et c’est dans le livre… Mike et moi avons soigneusement mis document après document et les références, indiquant que tous les astronautes, à un moment ou un autre, se sont plaint de ne pas pouvoir se souvenir de ce qu’ils ont fait sur la lune. Le mensonge est différent à tous les niveaux.

 

Kerry : Qu’avez-vous à nous dire sur cette nouvelle histoire secrète de la NASA ?

 

R : C’est une histoire qui se trame depuis de nombreuses années. Je parle d’au moins 40 ans, depuis la genèse même de la NASA en 1958. Ce qui m’intrigue, c’est que c’est une histoire que j’ai essayé de raconter auparavant à différentes occasions. Je l’ai fait dans l’émission Coast to Coast. Je l’ai fait aussi au National Club de presse, lors d’une conférence que nous avons tenue avec 8 autres personnes… en 1996. Mais jusqu’à ce que nous écrivions Dark Mission, elle n’accrochait pas. Deux semaines après la sortie du livre, il était classé dans les meilleures ventes de la liste du New-York Times. Je pense que dans notre pays, en fait dans le monde entier et particulièrement ces 8 dernières années, nous sommes politiquement prêt pour la vérité, à laisser tomber les mensonges. C’est tellement écrasant, on a pris tellement de claques de la part de gens en qui nous avions confiance, en qui nous avions confié nos vies, nos fortunes, notre honneur sacré. Ils ont posé devant les cameras nous ont menti…absolument ! 

 

 

Kerry C: J’aurais vraiment voulu y aller, mais je n’ai pas pu. Nous avons été enchantés de découvrir que vous vous penchez maintenant sur ce qui advient à la planète, alors que nous entrons dans les incertitudes du futur à partir 2008. Nous sommes à l’aube de 2012 et au-delà. Nous avons compris qu’il y a une évidence sur laquelle vous travaillez. Je pense que David Wilcock a collaboré avec vous pour l’un des articles sur votre site : Le jour interplanétaire après-demain [en 2004]. Cet article commence par documenter les changements qui se produisent sur d’autres planètes, c’est à dire pas seulement notre Terre, en termes de réchauffement et autres changements associés. Ce que nous voulions vous demander c’est : qu’avez-vous trouvé ?

 

RH: La façon dont je m’y suis intéressé, et qui relie ces deux sujets apparemment dissemblables, est partie de la question : qu’a fait la NASA pendant toutes ces années sans vouloir nous le dire, et qu’arrivera-t-il en 2012, ce qui s’avère avoir une connexion critique très importante. Souvenez-vous, au départ j’étudiais un ensemble de ruines,… même si la NASA disait que ce n’était pas des ruines, mais simplement un jeu d’ombres et de lumières. Des éléments de cette étude ont été publiés dans « Les Monuments de Mars » et sont repris en détail dans le chapitre 2 de mon livre « Dark Mission », nous sommes tombés sur ces données de physique, des données que nous sommes supposé ignorer. L’autre soir au téléphone, une personne « bien informée » m’a dit et c’est une citation exacte – c’est si frappant et si important que je comprenne bien, parce que ça illustre ce qui se passe dans les coulisses depuis toutes ces années au sujet du fait qu’ils ne nous disent pas la vérité : On m’a dit qu’ils abandonneraient plutôt une ville américaine au terrorisme nucléaire plutôt que d’abandonner cette physique-là. 

 

L’autre soir au téléphone, une personne « bien informée » m’a dit et c’est une citation exacte – c’est si frappant et si important que je comprenne bien, parce que ça illustre ce qui se passe dans les coulisses depuis toutes ces années au sujet du fait qu’ils ne nous disent pas la vérité : On m’a dit qu’ils abandonneraient plutôt une ville américaine au terrorisme nucléaire plutôt que d’abandonner cette physique-là.

 

C’est la physique de l’anti-gravité et de la soi-disant énergie libre, et même la physique de la conscience et de la vie elle même. Tout est lié au fait qu’il y a environ une centaine d’années, quand Maxwell écrivait ses équations et les nouveaux fondements pour la théorie électromagnétique, en Angleterre, la physique a pris un mauvais tournant, de façon radicale.

 

Rétrospectivement, et j’ai retourné cela dans les deux sens, ce n’était pas un mauvais tournant pris par des personnes qui auraient été trompées, auraient fait des erreurs ou ne savaient pas ce qu’elles faisaient. Cela a été un détournement conscient de la vérité, fait par des personnes qui ont manipulé la science et les scientifiques, en contrôlant la presse spécialisée, en créant le procédé de révision par les pairs (peer-review), en supprimant systématiquement les études publiées non désirées, en attaquant la réputation des scientifiques qui ne suivraient pas la voie étroite et droite. 

 

Un rassemblement conscient de la communauté scientifique, en vue de l’écarter des technologies et d’une compréhension fondamentale de la physique qui aurait libéré l’humanité entière. En d’autres termes : le contrôle. 

 

Souvenez-vous, j’en suis arrivé là en étudiant un tas de ruines sur une autre planète. Au moyen de la géométrie et d’étapes très intéressantes dont je vous fais grâce maintenant car elles se trouvent dans les deux livres. J’ai réalisé que nous avions, sur la surface d’une autre planète, une physique complète, un point de vue d’une toute autre manière de regarder le monde, la réalité; de ce qui réellement contrôle absolument tout, y compris notre technologie que nous considérons comme allant de soi et dont nous pensons qu’elle fonctionne d’une certaine façon, quand en réalité, elle fonctionne sur des principes différents, parfois un peu, et parfois drastiquement différents.

 

C’est donc dans ce contexte que je commence à observer les ruines de Mars, puis j’élargis mes recherches des ruines sur la Lune, avec ses petits tessons de verre, et j’ai la confirmation que tout cela est vrai. Tout ce que je dis depuis tant d’années et que la NASA nous cache.

 

Alors la question qui se pose : Si nous nous penchons sur des civilisations anciennes sur d’autres planètes, et qui ne sont plus là … qu’est-il arrivé ? Je veux dire, s’ils avaient ce pouvoir magique presque divin, pourquoi ne sont-ils plus là ? En tant que leurs derniers descendants vivants, avec le schéma qu’ils sont nous et nous sommes eux, pourquoi sommes-nous dans cet état si désastreux ?Nous combattant les uns les autres pour quelques barils, alors que l’univers qui nous entoure pourrait nous fournir de l’énergie en quantité illimitée pour construire des choses à une échelle ahurissante comme celles que l’on peut trouver juste à coté sur la Lune. Il a dû se passer quelque chose.

 

Cela me fait penser : nous savons, d’après l’histoire terrestre, que la vie ne se poursuit pas indéfiniment. En fait il se produit des évènements graves. Aux gens, aux villes, aux nations et aux civilisations. Des évènements arrivent, s’amenuisent, et disparaissent. Comme dans Shakespeare, les 7 âges de l’homme. Début, milieu et fin.

 

Donc, peu importe à quel point les types qui ont créé cela étaient incroyables, si cela devait se terminer, et on dirait bien que cela s’est passé, de nombreuses fois, de façon  catastrophique… Si vous regardez ce qu’il y a sur Mars, il est évident qu’il y a eu une catastrophe planétaire gigantesque qui a balayé tout ça et l’a enterré sous des kilomètres de boue et de sédiments, qui depuis, s’érodent. Nous voyons des traces de bâtiments sortir du sol. Dans leurs écrits, les Russes eux-mêmes parlent de villes englouties sous les sables de Mars; ils en parlent dans leurs médias scientifiques principaux. Alors, vous voyez tout ça, et je me dis : est-ce que ça pourrait arriver ici de nouveau ?Tout ce que nous voyons autour de nous, New-York, les gratte-ciels, la technologie extraordinaire d’Apollo, tout ce que nous prenons pour argent comptant, alors que nous croyons que nous sommes sur cette voie éternelle qu’est le futur; tout cela pourrait-il se terminer ? Est-ce qu’aujourd’hui nous pourrions traverser des cataclysmes comme ce que ces gens sur Mars ont connu ? … Vu qu’ils ne sont plus là. C’est ce qui m’a entrainé à analyser des registres anciens. Il y a des choses étonnantes en Egypte et je peux les montrer. Je les ai dans ma base de données. Elles prouvent vraiment que nous ne sommes pas les premiers.Il y a un parallèle inquiétant entre le visage de Mars et ceux des masques des pharaons d’Egypte, y compris leur coiffe à rayures, appelée Manes. 

 

Si nous regardons les premières versions des images du visage de Mars, par Viking, on y voit des rayures latérales des deux cotés de l’endroit sur lequel se trouve le visage. Ce qui m’a mis sur la piste d’une connexion égyptienne. Abydos, est un cas particulier. D’ailleurs, dans la mythologie Stargate, de la série télévisée, c’est une planète cruciale, on peut se poser la question : Que savent ces gens et depuis quand le savent-ils ?

 

Faites une avance rapide du film, vous voyez des gens comme Vladimir Avinski qui est un chercheur russe. De son coté, en 1984, il a publié dans Soviet Life Magazine une chronologie de son enquête sur Cydonia. Il termine en nommant le visage de Mars : « le Sphynx martien ».

 

Quand Errol Torun a rejoint mon équipe de recherche, nous avons réalisé qu’il y avait un lien mathématique exquis entre l’emplacement des ruines sur Mars et l’emplacement des ruines en Egypte. En fait, je m’en souviens très bien, le cosinus de l’un équivalait le sinus de l’autre. Les chances que cela se produise sont de 1 sur 7000. Autrement dit, chaque partie importante du Sphinx ou des pyramides sur deux planètes différentes connaissant l’emplacement exact de l’autre et ceci avec une chance de 1 sur 7000. Ce n’est pas un hasard. Comme George Noory le dit : je ne crois pas aux coïncidences. George a raison, ce n’est pas une coïncidence. 

 

Plus vous fouillez dans l’histoire de l’Egypte, les hiéroglyphes, l’architecture, tout ce qui est égyptien, en fait, ce sur quoi se basent les Francs-maçons pour leur savoir; vous trouvez cette incroyable connexion subliminale avec Mars. Quand je regarde une civilisation disparue sur une autre planète, où il n’y a aucune vérité matérielle venant du lieu même, si je peux y trouver des connections où il y a une possibilité de vérité, sur le sol même, j’y consacre toute mon attention.

 

Le résultat : il y a dans la mythologie et dans l’architecture, les mathématiques et la géométrie, ceci à tous les niveaux, une connexion profonde entre les monuments de Mars et les monuments de la Terre, particulièrement en Egypte. Ce que j’appelle dans « Les Monuments de Mars » : la connexion terrienne. 

 

Vous pouvez aller lire dans les livres, c’est documenté avec des photos, des équations, tout y est. Cependant, cela m’a conduit à réellement m’intéresser à certaines petites choses en Egypte. Il se peut qu’il y ait des archives actuelles, un indice d’une civilisation de pointe qui serait allée sur Mars et aurait construit ce que nous voyons. 

 

Bien que maintenant je ne pense pas que ce soit le cas. Il y a trop de choses là-bas qui n’ont pas été rétro-conçues mais viennent de la civilisation de Mars, dont on voit les ruines, et qui pourrait avoir envoyé des réfugiés, des colons sur Terre. Alors, on aurait un développement indépendant d’une civilisation évoluée, nous verrions alors sur Terre les traces de cette ascendance dans les monuments.

Abydos

 

À Abydos, ce qui frappe, c’est le temple de Seti I qui était l’un des pharaons de la renaissance. Il se situe dans le milieu de l’histoire égyptienne, environ 1500 ans av. J.C.  Il a apporté un vrai renouveau. Il s’est intéressé aux origines de sa culture, de sa civilisation ; il avait le pouvoir, l’argent et la capacité d’ordonner à ses gens de trouver ce qu’il y avait de mieux, et de construire des monuments qui affirmeraient la grandeur des pères fondateurs anciens de la culture égyptienne. 

 

Il a construit ce temple à Abydos, et ce qui me frappe, c’est que quand on regarde la façade, eh bien qu’est-ce que ça vous rappelle ? Pour moi, c’est moderne, ça n’a pas l’air ancien. En fait, c’est très moderne. Ça a l’air d’un grand immeuble massif à 5 cotés, [comme celui] de l’autre coté du Potomac, appelé le Pentagone. 

 

Quand vous regardez le Pentagone au niveau du sol, ça ressemble à ceci y compris les colonnes qui sont faites en béton, celles-ci sont faites en pierre. Quand vous entrez, là, c’est la surprise. Parce qu’à l’intérieur, sur le haut des linteaux qui soutiennent le toit, et l’un d’eux en particulier, vous voyez cette frise étonnante de ce qui rappelle au début des hiéroglyphes mais en fait, se sont des appareils de haute technologie, tel qu’un hélicoptère, un tank, l’évidence d’un vaisseau spatial anti-gravité avec une queue, et un propulseur tout terrain, je veux dire, on dirait exactement ce qu’utilisait Luke dans Star Wars , d’accord ?

Abydos

 

Il y a aussi des choses qui se rapportent à l’iconographie. Des lettres, peut être une sorte de hiéroglyphe qui n’a pas l’air égyptien. Et ce que j’ai fait : c’est comparer. 

 

Maintenant, quiconque regarde ceci se dit : Oh mon Dieu, vous voulez dire que les Egyptiens ont eu des chars de combat, des hélicoptères Cobra ? Non, ce n’est pas ce que nous disons. Ce que je dis, c’est : voilà le tank Abrams comparé à ce tank là. Ce que je veux dire, c’est que la culture ancienne, menée par Seti I qui s’est tournée vers ses propres archives secrètes, ses propres textes sacrés, sa documentation de ce qu’on appelle en égyptien « la première fois ». C’est la chronique d’une ère extraordinaire qui s’est déroulée avant la civilisation égyptienne, alors contemporaine. Seti I a érigé un mémorial aux gens étonnants qui ont construit et préservé tout cela. 

 

Donc, je pense qu’il a construit un musée, un mémorial à la technologie du temps d’avant – la première fois. Le Shemsuhor, les disciples d’Horus, qui représentaient la lignée de prêtres qui conservaient les traces. Si l’on observe la chronologie de Manatho, son calendrier, l’on voit ces énormes laps de temps que les égyptologues conventionnels considèrent comme anodins ou bien comme des erreurs de calcul de cycles lunaires durant des années, et d’autres non-sens. Mais, l’on parle de périodes dans le temps qui sont équivalentes à 10, 20 ou 30 mille ans d’un coup. Si vous remonter complètement l’horloge, cette époque pourrait très bien avoir été contemporaine de ceux qui ont construit ce que l’on voit sur Mars. 

 

Le point d’ancrage de la véritable science, c’est quand vous regardez le plateau de Giza et que vous voyez les pyramides du dessus. Il faut voir la reconstruction de Bauval et Hancock, des étoiles et de la ceinture d’Orion, imiter l’emplacement de la pyramide sur le plateau. Voyez comment ces pyramides sont alignées, presque, mais pas exactement, sur le vrai nord. 

 

Si vous prenez une simple pendule, les plaques tectoniques de géologie standard, et que vous remontez la pendule de la plaque tournante en Afrique, à cause de la physique de la planète sous le plateau de Giza, et la période dans le temps à laquelle Cydonia a été construite est la même : un quart de million d’années. Ce qui veut dire que nous avons là une civilisation incroyable, qui est venue et qui a disparue.

 

Kerry : Parle-t-on de l’Atlantide ?

 

RH: Métaphoriquement, oui. En d’autres termes, si vous lisez Platon, l’histoire actuelle de l’Atlantide, je pense que les spécialistes – et c’est mon opinion personnelle – ont ciblé leur recherches de façon trop étroite sur un lieu, une île, une nuit et une catastrophe. Platon écoutait les prêtres égyptiens, il a obtenu tout ce qu’il savait de l’Atlantide des types même qui ont fait cela. Il parlait d’une ère, d’une civilisation et d’une culture, pas d’un petit morceau de terre où un groupe d’hommes a vraiment foiré et a été puni par les dieux. 

 

L’Atlantide est un concept, pas un lieu. Pour moi, l’Atlantide c’est le temps d’avant, qui a peut-être vu des hommes qui pouvaient aller et revenir sur la Lune, de même que sur Mars. Alors étalons tout ce que nous avons trouvé des lunes des autres planètes, au prix de très gros efforts avec la base de données de la NASA. Et qui attend d’être confirmé par un programme spatial honnête qui donnera un jour la vérité.

 

Ce qui nous amène à la question inévitable : si tout cela a existé et a maintenant entièrement disparu, qu’est-il arrivé ? La réponse, pour la physique, est que la physique peut se tromper. Et peut se tromper de beaucoup. Elle peut se tromper à l’échelle du système solaire. C’est pour cela que nous voyons Mars en ruine, des ruines terribles. C’est pour cela que nous voyons des ruines et pas des gratte-ciel, que l’on peut reconnaître instantanément sur la Lune. Ce qui soulève une autre question : Cela peut-il arriver ici ? 

 

Cette question dirige notre regard sur le coté, vers le calendrier maya parce que les Mayas – l’une de ces anciennes cultures contemporaines, des types qui ont construit ce mémorial – ont dans leur propres textes : Il y aura une date et un temps quand tout ceci disparaîtra, et quelque chose de totalement neuf renaîtra. Alors est-ce juste une métaphore ? Cela s’applique-t-il à la conscience ? Un nouveau regard sur le monde ? Un new-age insouciant et planant ? Nous allons tous nous aimer un de ces jours ? Ou bien y a t-il une possibilité que dans cette physique, il y ait un ensemble de bombes à retardement ?

 

Si on ne prend pas ce savoir, cette science, cette technologie, toutes les opérations classifiées des opérations secrètes (blacks ops) sur lesquelles ils sont assis depuis plus de 50 ans, nous allons être dans la panade quand le jour du Jugement Dernier, le 21 décembre 2012, arrivera, nous ne sommes absolument pas préparés à ce qui pourrait arriver. 

 

La politique, c’est 99% de perception. Dans mon esprit, il y a ici deux questions. L’une : que va-t-il vraiment arriver ? Et je travaille avec Enterprise et des chercheurs comme Joseph Farrell et d’autres, pour comprendre et saisir la physique. L’autre est politique : Ceux qui ont le contrôle et nous ont empêché de connaître notre véritable Histoire, à quoi s’attendent-ils ? Et que font-ils pour se préparer, sans rien nous dire d’ailleurs ? 

 

Il y a la physique. Nous avons des indications très intéressantes de vortex hyper-dimensionnels qui sont en alignement dans la galaxie. Ils se forment tous les 26.000 ans et ont un effet réel physique. La question, c’est : à quel point ? Nous avons aussi une preuve que les « initiés », les Rockefellers, les Bilderbergers, les milliardaires, tous ces groupes savent quelque chose, ou plus exactement, ils pensent qu’ils savent quelque chose et ils ont pris les devants depuis ces 100 dernières années pour être prêts. C’est ce qui m’intéresse vraiment. 

 

Et c’était si cool quand j’ai compris cela, que j’ai été en mesure de l’exposer comme lors de la conférence de Joshua Tree, qui n’était d’ailleurs pas le premier endroit ou je le faisais. J’ai donné plusieurs conférences, pour le même style de public, afin de voir comment les gens vont se lever et applaudir quand ils verront ces données.

 

Quand Christophe Colomb a pris la mer en 1492, une des choses qu’il a rapportée est le calendrier maya, les Codices Mayas. On nous a dit qu’ils avaient brûlé, n’est-ce pas ? C’est faux ! Je pense qu’ils étaient séquestrés dans les archives du Vatican. Quelle personne saine d’esprit détruirait de l’information ? Oublions le fait qu’ils ne soient pas religieux, qu’ils préfèrent sauver leur peau, qu’ils cherchent à avoir l’avantage sur la société, la politique, et les peuples : c’est juste pour tout contrôler. La dissimulation, signifie, que s’ils ont brûlé, personne ne peut plus les consulter – donc vous pouvez les voir en secret – voilà, je pense que tous les codex que les érudits n’ont pas, sont retournés au Vatican. Pourquoi je sais cela ? Parce que la seule façon dont ça aurait pu marcher, c’est en 1582, quand le Pape Grégoire nomme un disciple allemand pour diriger le concile qui réformera le calendrier. En effet, les saisons ne correspondent plus avec Pâques et Noël, ni la résurrection du Christ et tout ça. On ne peut pas avoir Noël en juillet, or, c’est ce qui se passe à cette période là. 

 

Donc, il faut réformer l’ancien calendrier julien et Grégoire place Clavius, le génie allemand mathématicien, pour présider cette sorte de « comité présidentiel », afin qu’il recommande les changements nécessaires dans le calendrier. Quand tout a été dit et fait, ils se sont retrouvés avec un calendrier qui réajustait les dates, les saisons, les périodes, et ramenaient tout bien synchro. C’est le calendrier grégorien, le nôtre actuellement; ça a pris du temps pour filtrer parmi les diverses parties de la Chrétienté et les différentes régions du monde non chrétiennes en 1583. Il a été avancé de 11 jours. 

 

Observons la synchronisation des deux calendriers, maya et grégorien, et cette date très cruciale de 2012. Selon l’observatoire naval des Etats-Unis, vous pouvez consulter leur site, vous trouvez que le moment magique, l’instant où le monde change, d’après les Mayas, ne prend pas fin mais – change – de façon radicale. C’est le 21 décembre 2012 à 11h11. Temps universel. Il est impossible que ce soit fortuit car 11h11 est un code pour la physique que nous avons décodé à partir des monuments de Mars. C’est une longue histoire et nous n’avons pas le temps ici, mais elle se trouve sur le Site Enterprise, ainsi que dans les livres. L’essentiel est, aucune chance que Clavius, avec son héritage d’une société secrète allemande, ait pu calculer ceci sans une source indépendante de connaissances beaucoup plus sophistiquées.

 

J’ai eu un professeur de mathématiques, Chef du Département de l’Université de Fairleigh Dickinson, qui a consigné par écrit qu’il n’avait aucune idée de la façon dont Clavius avait fait pour arriver à cela. C’est bougrement trop précis. Je suppose donc que ce sont les codices secrets, rapportés par Colomb, séquestrés au Vatican, avec le calendrier maya qui leur ont permis d’ajuster le calendrier grégorien pour qu’il corresponde pile à 11.11, le matin du 21 décembre 2012.

 

Cela ne peut pas être accidentel, car 11:11 est un code pour la physique que nous avons décodé à partir des monuments de Mars. C’est une longue histoire que nous n’avons pas le temps d’aborder maintenant, mais elle est sur le site web de l’entreprise, elle est dans les livres. Le fait est que Clavius n’aurait jamais pu faire cela à moins de disposer d’une source de connaissances indépendante beaucoup plus sophistiquée.

 

Un professeur de mathématiques qui dirigeait le département de l’université de Fairleigh Dickinson a écrit qu’il ne comprenait pas comment Clavius avait fait cela. C’est trop précis. Je suppose donc qu’il s’agit des codices secrets rapportés par Colomb et l’a séquestré au Vatican, avec le calendrier maya, où ils ont pu ajuster le calendrier grégorien pour qu’il sorte à 11h11, le matin du 21, 2012.

Richard Hoagland CNN

 

Lorsque la sonde Viking s’est posée en 1976, j’étais là-bas debout avec Carl Sagan à regarder sur un moniteur. Carl était sur ma gauche, certaines personnes de la NBC à ma droite, et nous regardions cette première image en couleur provenant d’une liaison descendante en direct depuis Mars, et ça ressemblait à l’Arizona! Quelques heures plus tard, ceux qui dirigeaient ont envoyé des techniciens pour régler les curseurs rouges de tous les moniteurs du laboratoire. Certains individus ont le pouvoir politique pour nous maintenir dans l’ignorance au sujet de notre hérédité. Ils ont commencé en 1976 en changeant la couleur de Mars pour empêcher de voir comment la planète était en réalité, à savoir qu’elle est très comparable à l’Arizona. 

 

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