Selon gilles PINON il s'agirait de
LA PLUS GRANDE OPÉRATION DE COMMUNICATION EXTRATERRESTRE DES TEMPS MODERNES…
La plus grande opération de communication extraterrestre des temps modernes l’évènement le plus extraordinaire des temps modernes s’est produit à Fatima au Portugal, le 13 octobre 1917.
Ce jour là, le soleil exécuta une danse insensée en présence de 70 000 personnes. Le prodige solaire fit suite à une série d’apparitions de la Vierge Marie à trois jeunes bergers portugais. Apparemment irrationnels, ces faits sont pourtant difficilement contestables. Survenus dans un contexte éminemment religieux, l’Eglise catholique les a reconnus comme miracle.
Ce livre, écrit par un contre-amiral français, remet fondamentalement en cause l’interprétation surnaturelle.
Avec toute la hauteur de vue qu’exige un sujet aussi délicat, il en aborde les aspects historiques, scientifiques, psychologiques et théologiques. Il démontre que la raison conduit à voir, dans la danse du soleil, la signature d’un message extraterrestre. En supplément dans cette réédition de « Fatima, un ovni pas comme les autres » paru en 2001 : la lettre ouverte au président Sarkozy en 2008 dont Pinon est le principal signataire.
RAPPEL DES FAITS
Le 13 octobre 1917, malgré la pluie, la foule était au nombre de 50.000 à 60.000 personnes! Certains étaient venu de très loin pour assister à l’Apparition promise. Parmi cette masse, des incroyants étaient eux aussi là, prêt à intervenir dans le cas où il ne se passerait pas le miracle annoncé par Notre-Dame, le mois précédent.
Pour la première fois, la mère de Lucie pensa au drame qui pourrait survenir si le miracle du Ciel ne se produirait pas!, tandis que les parents de François et de Jacinthe, eux, avaient une grande confiance sur les promesses de la Sainte Vierge; quant aux enfants, ils ne se troublaient pas du tout devant une si imposante foule.
Pour réciter le chapelet la foule ferma les parapluies, bien qu’il pleuvait assez à cet instant, et, dans la boue, les fidèles s’agenouillèrent. Il était déjà 13h30 et certains incroyants commençaient à exciter les gens à cause que le miracle était annoncé pour midi. Pourtant, la Sainte Vierge était à l’heure! En effet, le gouvernement de l’époque, en pleine première guerre mondiale, avait imposé au pays une heure légale qui avançait de 90 minutes sur l’heure solaire; mais le Ciel n’a que faire de l’heure des hommes!… à l’heure du soleil il était bien midi et, regardant du côté du Levant, la petite Lucie vit la lumière qui précède chaque apparition et, en effet, Notre-Dame apparut du dessus du chêne-vert. Pendant qu’elle s’entretenait avec la petite voyante, la foule vit par trois fois se former autour du chêne une nuée, qui, ensuite, s’éleva dans l’air pour finalement disparaître. Notre-Dame s’élevait et le reflet de la lumière qui se dégageait d’elle se projeta sur le soleil. kilomètres de Fatima.
C’est à ce moment qu’une bonne partie de la foule put contempler la danse du soleil: la pluie cessa soudainement et les nuages se dispersèrent brusquement, laissant apparaître un ciel clair. La foule put alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé. Il y avait un grand silence. L’astre se mit à trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel. Il semblait s’approcher de la terre, au point que la foule s’en inquiéta. En effet, le soleil, conservant son mouvement rapide de rotation, paraissait brusquement se détacher du ciel et avancer en zigzaguant sur la foule. Ce fut un instant si terrible que plusieurs personnes s’évanouirent, mais finalement il s’arrêta au grand soulagement de tous. À la stupéfaction générale, la foule put constater que leurs vêtements, trempés par la pluie quelques minutes auparavant, étaient complètement secs!
La danse du soleil qui y fut décrite par une foule de plus de 50.000 personnes, donc un nombre énorme de témoins n’était pas du tout un miracle ou une apparition divine, mais bel et bien l’apparition d’un engin lumineux, un engin spatial. De nombreuses personnes s’étaient assemblées à un endroit où trois petits bergers auraient vu la Vierge Marie apparaître auparavant. Et effectivement quelque chose d’insolite se produisit dans le ciel ce jour-là. En analysant bien ces descriptions, on ne peut que convenir, qu’il s’agit ici d’un engin sous forme de disque, de soucoupe, de sphère, d’une forme discoïde, voir un peu ovoïde, évoluant d’une façon variable au-dessus de la foule, montrant toutes les caractéristiques de ce qu’on appelle de nos jours un OVNI, une soucoupe volante!
Les changements de couleurs brusques donnant l’aspect d’une boule de feu, les effets lumineux rayonnants, une lumière non-éblouissante, une rotation à grande vitesse, le silence de l’engin (pas de bruits de moteurs), des apparitions et disparitions soudaines sont très caractéristique de tous les témoignages oculaires d’Ovnis contemporains.
Mr. José Proënça de Almeida Garrett a rédigé son témoignage par écrit quelque jour après l’événement, il était à l’époque, professeur de médecine à l’Université de Coimbra, voici son témoignage :
« II pleuvait encore, vers 13 heures, lorsque les trois enfants arrivèrent, à l’endroit où avaient eu lieu les apparitions. Vers 13h30 là où se trouvèrent les enfants, une colonne de fumée, déliée, ténue et bleutée, qui monta droit jusqu ‘à deux mètres peut-être et s’évanouit à cette hauteur. Le phénomène se dissipa au bout de quelques secondes puis se reproduisit une deuxième fois, et une troisième fois. Il n’y avait pas de feu, puis vers 14h00 la foule dirigea le regard vers le ciel, en direction du Soleil qui avait rompu la dense couche de nuages, je me tournai vers cet “aimant” qui attirait tous les yeux et je pus le voir semblable à un disque au bord net et à l’arête vive, lumineux et brillant, mais sans fatigue pour les yeux. Il apparaissait comme un disque plat et poli, taillé de nacre d’une coquille. Il ne ressemblait pas non plus à un soleil contemplé à travers le brouillard, il n’y en avait pas à ce moment-là, car il n ‘était ni obscurci, ni diffus, ni voilé, il se dessinait nettement avec un bord taillé en arête comme une planche à jeux. Ce disque nacré avait le vertige du mouvement [rotation sur soi-même]. Ce n’était pas simplement le scintillement d’un astre plein de vie, il tournait sur lui-même à une grande vitesse. De nouveau, on entendit une clameur de la foule, comme un grand cri d’angoisse, conservant la rapidité de sa rotation, le Soleil se détache du firmament, et, rouge sang, avance vers la Terre, menaçant de nous écraser sous le poids de son immense masse ignée. Ce furent des secondes terrifiantes. M’occupant de fixer ce Soleil, je remarquai que tout s’obscurcissait autour de moi. Je regardai ce qui était près, puis j’allongeai la vue jusqu’à l’extrême horizon, et je vis tout couleur d’améthyste. Les objets, le ciel et la couche atmosphérique avaient tous la même couleur. Un grand chêne violacé qui s’élevait devant moi, lançait sur le sol une ombre épaisse. A d’autres il incombe d’expliquer ceci. »
D’autres documents officiels de témoignages permettent d’affirmer que ce grand disque volant fut aperçu par des personnes se situant à 4 et 5 kilomètres de là et qui ne partageaient nullement les émotions et les attentes de la foule sur place à la Cova de Iria :
« Je regardais fixement l’astre, il me paraissait pâle et privé de son éblouissante clarté ; il semblait un globe de neige tournant sur lui-même. Puis tout à coup il parut descendre en zigzag, menaçant de tomber sur la terre. »
Quels étaient les messages de Marie à Fátima, au Portugal ?
Le 13 mai, les catholiques du monde entier célèbrent Notre-Dame de Fátima. En ce jour de 1917, la Sainte Vierge Marie est apparue à trois enfants de bergers à Fátima, au Portugal. C’était la première des six apparitions totales que la Sainte Vierge allait faire aux enfants de mai à octobre 1917. Tout au long de ses apparitions, Marie fait des prédictions et prévient que si tout le monde ne prie pas, ne se repent pas et n’abandonne pas le péché, le monde souffrira de la guerre, de la tourmente et de la persécution de l’Église. Examinons de plus près les six apparitions.
Le 13 mai 1917, la Bienheureuse Marie apparaît pour la première fois aux enfants alors qu’ils gardaient les moutons à Fatima, au Portugal. Les enfants – Lucia dos Santos, dix ans, Francisco Marto, neuf ans, et Jacinta Marto, sept ans – étaient cousins. La Bienheureuse Marie a exhorté les enfants à « prier le rosaire tous les jours, afin d’obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre (Première Guerre mondiale) ». Elle a demandé aux enfants de venir au même endroit et à la même heure tous les 13 jours du mois pendant les cinq mois suivants.
Comme promis, le 13 juin 1917, la Bienheureuse Marie est apparue de nouveau, instruisant les enfants de continuer à dire le chapelet chaque jour à Fatima et pour Lucie d’apprendre à lire et à écrire. On dit à Lucie qu’elle vivra plus longtemps que les deux autres enfants et qu’elle devra diffuser le message de Marie dans toute l’humanité. Elle a dit à Lucie que Dieu veut « établir la dévotion à mon Coeur Immaculé dans le monde ». Quiconque l’embrasse est promis au salut.
Le 13 juillet 1917, en plus d’exhorter les enfants à continuer à dire le chapelet pour la paix dans le monde, la Bienheureuse Marie leur dit de prier pour la conversion des pécheurs et tous les péchés commis contre son Coeur Immaculé. Lors de cette apparition, Marie a révélé trois secrets ou visions prophétiques.
Le premier secret était un aperçu de ce à quoi ressemble l’enfer et leur disait que pour sauver les âmes futures, Dieu veut que le monde se consacre à son Coeur Immaculé. « Si ce que je vous dis se réalise, beaucoup d’âmes seront sauvées et il y aura la paix ».
Le deuxième secret était la prédiction de la fin de la Première Guerre mondiale, mais Marie a averti que si les gens ne cessaient pas d’offenser Dieu, une pire guerre éclaterait pendant le pontificat de Pie Xl. Pour éviter cela, elle a demandé que la Russie se consacre à son Coeur Immaculé afin d’éviter les dommages que la Russie ferait à l’humanité en embrassant le communisme.
Le troisième secret n’a été révélé qu’en 2000. Les enfants ont eu la vision d’un évêque vêtu de blanc (qu’ils croyaient être le pape) marchant vers une montagne avec d’autres prêtres et des figures religieuses. Au cours de leur périple, ils traversent une ville en ruines et le pape prie pour les âmes des cadavres qu’il croise sur son chemin. Lorsqu’ils atteignent le sommet d’une montagne, le pape s’agenouille devant une croix et lui et les autres sont tués par des soldats.
Il y a eu beaucoup de débats sur la signification du troisième secret. Le pape Jean-Paul II pensait que cette vision faisait référence à sa propre tentative d’assassinat. En août, les enfants ont été empêchés par les autorités civiles désapprobatives de se rendre à leur lieu de rencontre habituel et ont manqué l’apparition de Marie le 13ème jour. Cependant, le 19 août, la Bienheureuse Marie est apparue aux enfants et les a exhortés à continuer à dire le chapelet et à « prier pour les nombreuses âmes qui vont en enfer, car il n’y a personne qui prie pour elles ».
Lors de la cinquième apparition, le 13 septembre, les enfants ont été rejoints par des milliers de spectateurs. Les gens sont allés voir Marie, mais seuls les enfants ont vu les apparitions de Marie et les ont décrites aux gens. La Sainte Vierge est apparue aux enfants avec le message :
« Continuez à prier le rosaire pour obtenir la fin de la guerre. En octobre, Notre Seigneur viendra, ainsi que Notre Dame des Douleurs et Notre Dame du Carmel, Saint Joseph apparaîtra avec l’Enfant Jésus pour bénir le monde. En octobre, je ferai un miracle pour que tous puissent croire ».
Le 13 octobre 1917, les enfants entourés d’une foule de 70 000 personnes se sont tenus sous une pluie torrentielle lorsque la Bienheureuse Marie est apparue et a révélé son identité : « Je suis la Dame du Rosaire, je désire qu’une chapelle en mon honneur soit construite ici, que les gens continuent à réciter le Rosaire tous les jours. La guerre va se terminer, et les soldats vont bientôt rentrer chez eux. N’offensez plus le Seigneur notre Dieu, car il est déjà tellement offensé ». Ensuite, le miracle qu’elle avait promis s’est produit : le miracle du soleil.
Beaucoup ont décrit le miracle de la même façon : Marie a ouvert ses mains et a lancé un rayon de lumière en direction du soleil ; la pluie s’est soudainement arrêtée et un soleil exceptionnellement brillant est apparu. Le soleil a commencé à tourner, projetant des bandes de lumière colorée. Puis le soleil est apparu comme s’il tournait du ciel et vers la foule, tandis que les gens tombaient à genoux et imploraient la pitié. Pendant ce temps, comme promis, les trois enfants ont vu la Sainte Dame vêtue de blanc avec une cape bleue, ainsi que Saint Joseph avec l’Enfant Jésus bénissant le monde. Puis, après cette vision, ils ont vu le Seigneur bénir le monde, debout à côté de Notre-Dame des Douleurs. Après la disparition de cette vision, ils ont vu une nouvelle fois la Vierge, ressemblant cette fois à la Vierge du Mont Carmel.
Le 13 octobre 1917, la foule était au nombre de 50.000 à 60.000 personne! La foule pur alors regarder directement le soleil sans risque de se brûler les yeux ni sans être aucunement incommodé. L’astre se mit a trembler avec des mouvements brusques, puis il tourna sur lui-même à une vitesse vertigineuse, en lançant des gerbes de lumière de toute les couleur de l’arc-en ciel.
Il est peu probable que ce soit le Soleil qui ait dansé le 13 octobre. Tout mouvement de l’étoile – aussi petit soit-il – aurait des conséquences catastrophiques non seulement sur notre planète, mais dans tout le système solaire.
A l’époque, le directeur de l’Observatoire astronomique de Lisbonne avait déclaré aux journalistes du journal O Século que « s’il s’agissait d’un phénomène cosmique, les observatoires astronomiques le détecteraient avec exactitude. Mais c’est précisément ce qui manque, l’enregistrement inévitable de quelque perturbation dans le systême … aussi minime soit-elle. «
Que s’est-il passé à Fatima en 1917 ? Était-ce l’aurore boréale, comme l’ont suggéré les sceptiques – pas très bien ? Une hallucination collective ? Cela semble peu probable. Et si c’était un OVNI ?
Le doigt dans la plaie a été mis par le Dr Fina D’Armada et l’historien portugais Joaquim Fernandes, lorsqu’ils ont publié leur livre « Intervention extraterrestre à Fatima ». Sans préjugés, D’Armada et Fernandes analysent les phénomènes observés à Fatima en 1917 dans une perspective moderne, en concluant que les phénomènes qui se sont produits dans la Sierra de Ourem à cette époque, ont tous les ingrédients d’une observation d’OVNI.
Parmi les documents consultés par D’Armada, il y a de nombreux témoignages sur le phénomène du 17 octobre. Avant le début des apparitions, ils ont été vus par de petits témoins, des objets lumineux, connus en ufologie sous le nom de Foo-Fighters, dont l’un a même battu la soeur de Carolina au visage.
On a également observé un ballon d’argent, un objet en forme d’échelle et des « nuages » qui se dirigeaient dans la direction opposée au vent. Quant au « phénomène solaire », certains témoins affirment que c’est le Soleil lui-même qui a bougé, tandis que d’autres suggèrent qu’un disque « métallique » ou « de verre » a précédé l’étoile. Finalement, le « Soleil » est devenu transparent et à l’intérieur du disque on a observé 3 êtres, qui -influencés par le contexte- ont été interprétés comme la « Sainte Famille ».
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