Article proposé par Daniel HARRAN
Alors que je randonnais dans les Pyrénées, j’ai pu observer le manège étrange de certains avions, ceux qui laissent derrière eux ces longues trainées persistantes, les chemtrails.
J’étais au Sud de Pau, à l’aplomb d’un couloir aérien où des avions de ligne se dirigent vers le Sud, vers l’Espagne. Le temps était beau et l’atmosphère calme (pas de vent sensible, sauf un peu sur les crêtes).
En rouge, couloirs prévus pour les avions navigant vers le Sud
En vert, pour ceux se dirigeant vers le Nord
Comparaison entre chemtrails et contrails :
Pendant ma période d’observation, j’ai vérifié que tous les avions allaient effectivement dans le même sens, vers le Sud – Sud ouest, leurs trajectoires étaient bien parallèles.
La grande majorité d’entre eux produisaient des traînées de faible densité, courtes et éphémères, attribuées à la condensation de vapeur d’eau. Elles étaient fines, duraient quelques secondes, et leurs longueurs étaient inférieures au kilomètre (évaluation sur la base des dimensions apparentes des avions).
Par contre, quelques avions se distinguaient par leurs longues traînées qui étaient denses, s’élargissaient et persistaient pendant une bonne heure, leurs longueurs dépassant très largement tout mon champ d’observation.
La simple observation montre qu’il existe un rapport de plusieurs centaines entre les durées de rémanence des traînées de ces deux catégories. Les longueurs étant proportionnelles aux temps, cela signifie qu’il existe le même rapport entre les longueurs des traînées de ces deux catégories. C’est la grandeur considérable de ce rapport qui m’a interpellé.
Dans l’hypothèse où toutes ces traînées seraient créées par la condensation de vapeur d’eau, est-il possible que des différences d’hygrométrie, liées à d’éventuelles différences d’altitude des avions, puissent expliquer un tel rapport ?
En réalité c’est absolument impossible si l’on se souvient qu’avant les années 1990, il n’existait jamais de traînées semblables à ces longues traînées persistantes d’aujourd’hui.
De plus, en restant encore dans l’hypothèse où toutes ces traînées seraient créées par la condensation de vapeur d’eau, on ne peut pas comprendre qu’il y ait ainsi deux catégories de traînées aussi distinctes (par leurs durées et leurs longueurs), sans que l’on voie de continuité entre les deux.
En effet, on n’observe jamais, par beau temps calme, de traînées qui soient dans un rapport de quelques dizaines par exemple, avec les traînées de condensation, des traînées qui durent 5 minutes, par exemple, ou mesurent 50 kilomètres. (Il en serait autrement si des vents forts dispersaient plus vite les chemtrails, mais ce n’était pas le cas, le jour de mon observation).
L’hygrométrie de l’air variant nécessairement de façon progressive, cette absence de continuité entre ces deux types de traînées implique qu’elles ne peuvent pas être de même nature. Les traînées persistantes ne sont donc pas créées par de la vapeur d’eau condensée. Elles sont donc constituées par d’autres produits que de l’eau. Ce sont des traînées chimiques. La conclusion de ce raisonnement est incontestable.
Les chemtrails ne passent pas la frontière !
Mais quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je m’aperçus que les avions à chemtrails, et eux seuls, déviaient leur trajectoire à l’approche de la frontière franco-espagnole. Comme le montrent la première photo et celle ci-dessous (plus expressive), ces avions quittaient le couloir aérien pour se diriger vers l’ouest, parallèlement à la chaîne des Pyrénées et à la crête frontière, en restant à une quinzaine de kilomètres environ de la frontière, jusqu’à ce que je les perde de vue.
Ce changement de direction, que j’ai pu observer au même endroit avec plusieurs avions, signifie que ces avions ne sont pas des avions de ligne (et je n’ai pas vu d’avion à trainée chimique procéder autrement).
Ce sont donc probablement des avions militaires.
Sur la photo ci-dessus, en bas à gauche, on voit une autre traînée chimique, plus ancienne, très élargie, parallèle à la chaîne des Pyrénées et parallèle à la direction des avions après leur virage ; elle s’est déplacée avec les vents d’altitude mais sans se déformer, preuve d’une atmosphère relativement calme.
Quel peut être le sens de ces manœuvres ?
Ces avions empruntent initialement un couloir aérien (ou du moins se dirigent dans la même direction). Ils peuvent être ainsi confondus avec les avions de ligne, ce qui a pour conséquence de faire croire que leurs traînées sont normales .
Mais on a compris qu’ils répandent secrètement des produits chimiques dans l’atmosphère. Ce sont donc de « faux avions de ligne » .
Puis ils évitent manifestement de survoler l’Espagne. On peut comprendre que, ces épandages étant illicites (dans tous les pays européens), les avions français qui violent le droit en France, ne peuvent pas se permettre de faire de même dans un pays étranger.
Ces manœuvres qui consistent à se mêler aux avions de ligne puis à changer systématiquement de direction pour éviter de s’introduire en pays étranger créent de la confusion et paraissent suspectes.
Cette remarque est cohérente avec le fait les traînées sont des épandages secrets de produits chimiques, lesquels sont nocifs pour les populations. Elle tend à renforcer cette compréhension.
Commentaires : pour prouver l'existence de substances chimiques Daniel HARRAN propose
d’analyser les retombées de ces chemtrails. Et ceci a été fait par un laboratoire indépendant.
Il y fait allusion dans un article du 30 juillet 2019
(Les chemtrails – un phénomène réel) et une émission consacrée à ce sujet :
https://www.youtube.com/watch?v=RNgekhOl9MA&list=PLyUUU8G9hWHBUwIvscW5G-Lsz3J9aiTRL&index=26&t=6s
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