05 octobre 2003, secrétariat du Dr John E. Mack (Psychiatre) :
"– Bonjour Madame, je souhaiterais obtenir un rendez-vous d’urgence avec le Docteur Mack s’il vous plait.
– Certainement, pourriez-vous me préciser la raison pour laquelle vous avez besoin de consulter un psychiatre ?
– Hé bien, je fais des cauchemars récurrents dans lesquels je me fais enlever la nuit durant mon sommeil par de petits
êtres gris qui me font subir toutes sortes d’examens médicaux traumatisants. Je suis terrorisée en permanence car cela semble extrêmement réel et j’en arrive à être incapable de travailler. J’ai besoin d’aide car il faut que
cela cesse…"
Introduction
Le sujet des enlèvements dits extraterrestres, révélé en France en 1995 par la journaliste Marie-Thérèse de Brosses
n’est que l’une des facettes d’un dossier plus général catégorisé sous le terme générique « OVNIS ».
Ce dernier est quasiment totalement ignoré du traitement médiatique, sauf en de rares occasions où un reportage
TV peut lui être consacré.
Dans le meilleur des cas nous avons droit à la répétition de la même émission déjà vue depuis une cinquantaine d’années, à savoir une collecte de quelques témoignages assez crédibles de la part de pilotes d’avions ou de témoins au sol.
Ces derniers déclarent avoir assisté à la rencontre avec ce qui semble être un engin aérien doté de performances très élevées incompatibles avec celles de nos propres machines volantes.
Dans le pire des cas, le sujet est dénigré (syndrome des petits hommes verts), ou alors un pseudo-expert autoproclamé qui ne connait manifestement rien au dossier, vient doctement nous expliquer à l’aide d’une hypothèse alambiquée que les témoins se sont trompés et qu’ils ont pris des vessies pour des lanternes.
Il faut noter qu’aucun scientifique n’a jamais pris la peine ou le risque d’analyser sérieusement le sujet par peur
du ridicule, seuls quelques ufologues (terme vide de sens) ont travaillé dessus, avec comme on peut s’y attendre des
résultats dont la synthèse tiendrait sur un confetti. Ne jetons cependant pas la pierre à certains de ces derniers car
c’est grâce à eux que l’on a cumulé un patrimoine historique de témoignages pouvant servir de matière première à
l’analyse.
Nous allons donc aborder le sujet des enlèvements extraterrestres sans idées préconçues en partant des données
recueillies par des chercheurs sérieux qui ont enquêté directement auprès de victimes de ces phénomènes.
A l’issue d’une synthèse des données recueillies, une hypothèse nouvelle sera proposés pour expliquer les aspects
les plus mystérieux du sujet.
Ajoutons que certains lecteurs qui découvriront le sujet à partir de cet article risquent fort de rentrer en dissonance cognitive !
La découverte du phénomène
Les premières données significatives sur le phénomène des enlèvements (abductions en anglais) ont été obtenues
par des personnels de santé.
Ces derniers ont travaillé avec des patients racontant une histoire étrange et présentant fréquemment des troubles psychologiques apparentés à un syndrome de stress post-traumatique.
Leur travail étant de déterminer les causes de ces troubles, ils ont alors constaté que de nombreux patients étaient convaincus d’avoir vécu une expérience d’enlèvement.
De plus, les patients ne se connaissant pas, ils racontaient
une histoire très similaire.
La surprise fut grande de constater que les auteurs de ces enlèvements tels qu’ils furent décris, bien que d’apparence humanoïde n’étaient manifestement pas humains.
Ils furent par conséquent rangés dans la catégorie
dite « extraterrestre » qui ne signifie rien d’autre que « non terrestre ».
Des chercheurs tels Budd Hopkins ou John E. Mack ont passé de nombreuses années de leur vie à analyser en détail quelques dizaines de cas.
La technique utilisée était basée sur des séances de régression hypnotiques effectuées sur des victimes du phénomène.
La prise de connaissance de ces travaux incluant des preuves matérielles liées à des implants insérés dans le corps des victimes par leurs agresseurs indique que la réalité des faits est aujourd’hui avérée.
Il ne peut plus guère être mis en doute que ces derniers impliquent l’intervention d’un groupe organisé étranger
dans notre environnement.
Par commodité et à défaut d’un terme non connoté, ce groupe sera nommé dans la suite « alien » qui signifie
«étranger » en anglais.
Cette terminologie ne préjuge pas de l’origine de ce groupe organisé.
Le contexte du phénomène
Les cas recensés sont plus nombreux aux Etats-Unis. Cela s’explique par le fait qu’il s’agit du seul pays où ce phénomène a été étudié, mais on possède des exemples de récits d’enlèvements dans le monde entier, y compris en France.
Les victimes de ces phénomènes, de toutes catégories sociales, n’ont en général pas de souvenirs conscients d’avoir vécu quoique ce soit.
C’est pourquoi la technique de régression hypnotique est utilisée pour tenter d’extraire une hypothétique expérience traumatisante refoulée.
Assez fréquemment, les témoins ont d’abord constaté une période de « temps manquant » dans leur vie (missing
time), cette période correspondant avec l’apparition du début des troubles psychologiques.
La majeure partie des cas recensés sont localisés :
– au domicile des victimes, en général lors de leur phase de sommeil
– en voiture sur une route isolée
Les enlèvements ont lieu le plus souvent en période nocturne.
Le déroulement type d’un enlèvement
A l’issue de multiples régressions hypnotiques effectuées sur une population de victimes, la séquence récurrente suivante a pu être établie :
– observation d’une lumière dont la source est invisible et/ou d’un engin aérien
– paralysie du témoin
– apparition d’humanoïdes de petite taille à la peau grise avec de grands yeux en amande
– « lévitation » du témoin et des humanoïdes avec passage apparent à travers les murs, portes ou fenêtres
– transport dans l’engin aérien par la voie des airs (l’engin est parfois posé au sol)
– l’intérieur de l’engin semble fréquemment beaucoup plus vaste que l’extérieur
– installation du témoin sur une table d’examens
– examens médicaux très désagréables
– fréquentes expériences en relation avec le sexe
– messages parfois transmis aux témoins alertant sur la destruction de la planète liée à l’activité humaine
– fin de l’expérience et retour du témoin à son point de départ ou dans certains cas assez rares à un endroit qui peut
être très éloigné
– opération « mentale » sur le témoin pour qu’il ne se souvienne plus de son enlèvement
– à l’extérieur de la zone de l’enlèvement, sauf dans quelques cas, les témoins potentiels ne remarquent rien.
La durée des enlèvements est variable, tout peut être terminé en 1/4 heure mais cela peut durer jusqu’à plusieurs jours dans de rares cas.
Les questions induites par ce phénomène
La liste des questions induites par les données recueillies est longue, elles tournent autour de 3 thèmes :
1. Origine et objectifs des aliens
2. Technologies utilisées par les aliens
3. Physique sur laquelle est basée cette technologie
Évacuons immédiatement la première question, l’origine et les objectifs des aliens nous sont parfaitement inconnus.
Certains pensent cependant que des gouvernements pourraient avoir des informations non divulguées à ce sujet.
Les prises de position de l’ancien ministre canadien de la défense Paul Hellyer et une curieuse déclaration du premier
ministre russe Medvedev étayent cette possibilité.
Pour la seconde question, il semble évident que les aliens possèdent et utilisent une technologie largement
supérieure à la notre.
Cependant, nos connaissances sur le sujet ont avancé d’un cran grâce aux travaux du physicien Jean Pierre Petit.
Ce dernier s’est basé sur les observation en vol atmosphérique des OVNIs et sur ses connaissances en physique des fluides.
Il a alors mené des travaux de recherche théoriques et expérimentaux sur la propulsion MHD
Ces travaux ont conduit à la présentation de 3 papiers au colloque international de MHD de Vilnius en septembre
2008.
Le chairman de la conférence s’est exclamé, surpris par cette communication :
« Vous êtes en train de nous démontrer le principe de fonctionnement d’un OVNI ! ».
Ces papiers ont ensuite été publiés dans la revue scientifique à comité de lecture Acta Physica Polonica A (volume
115, n° 5, juin 2009).
(*) MHD = Magnétohydrodynamique, il s’agit d’un couplage entre la mécanique des fluides et l’électromagnétisme.
En ce qui concerne le troisième thème, nous ne pouvons par définition que nous appuyer sur la physique que l’on
connait aujourd’hui.
Pour rappel, cette dernière est en charge de l’étude des phénomènes qui se déroulent dans l’espace et dans le
temps.
Ces deux concepts nous semblent familiers car ils correspondent à la perception de notre environnement issu de nos 5 sens, mais pour la science ils sont très difficiles à définir.
De nombreux ouvrages les concernant furent écris par des physiciens sans pour autant arriver à les caractériser rigoureusement.
Considérons simplement qu’il s’agit de la notion intuitive de dimensions.
En effet, nous sommes capables de nous déplacer « librement » dans l’espace (suivant 3 directions ) et dans le temps dans une seule direction « imposée » par ce que l’on appelle la flèche du temps.
Revenons à certaines caractéristiques récurrentes et invraisemblables décrites dans les cas d’enlèvements.
De nombreux témoins racontent être passé à travers les portes ou les fenêtres de leur logement, avoir parfois aperçu
un engin puis après être entré à l’intérieur, constaté qu’il est plus vaste qu’à l’extérieur !
Par ailleurs, on ne trouve en général aucun témoin extérieur à la zone d’un enlèvement.
En effet, un engin aérien ne devrait pas passer inaperçu en zone urbaine où il y a du passage 24h sur 24.
Au vu de ces aspects en apparence absurdes, certains considèrent que le phénomène ne peut être réel et
recherchent des explications endogènes telles que des hallucinations ou des troubles psychologiques.
Nous allons justement voir qu’il existe une hypothèse relativement simple et parfaitement rationnelle qui explique
tous ces aspects déroutants.
Cependant cette hypothèse est très lourde de conséquences et, si elle est démontrée,obligera à un changement majeur de paradigme sur notre vision de l’espace.
Que sait on sur l’espace ?
Nous avons vu que l’espace est considéré comme un contenant à 3 dimensions dans lesquelles nous sommes capables de nous déplacer.
Pour ce qui concerne le temps, notons seulement que notre déplacement dans ce dernier est imposé par les lois de
l’univers et que la théorie de la relativité a réussi à le relier à l’espace.
En l’état actuel de la physique, nous parlons d’un espace-temps à 4 dimensions, soit 3 d’espace et 1 de temps (3D+t).
Les mathématiques nous permettent par ailleurs de « jouer » avec cet espace à 3+1 dimensions et de calculer par
exemple la trajectoire des objets en mouvement.
Cependant, on peut jouer encore plus fort avec les maths en ajoutant autant de dimensions d’espace que l’on veut
et les calculs restent parfaitement cohérents.
Le seul hic est que nous sommes incapables d’imaginer à quoi un tel espace pourrait ressembler car notre cerveau n’est conçu que pour appréhender 3 dimensions d’espace.
Alors jouons un peu (tout en restant raisonnables !) et ajoutons simplement une dimension d’espace pour en arriver à un total
de 4.
Nous serions donc en présence d’un espace-temps à 5 dimensions, soit 4 d’espace et 1 de temps (4D+t).
Au quotidien, on constate que la matière (un chat, une voiture, un avion…) peut se déplacer suivant 3 dimensions (3D) ou 3 axes :
– en avant ou en arrière
– à droite ou à gauche
– en haut ou en bas
Si l’on suppose qu’il existe une dimension d’espace supplémentaire, faisons l’hypothèse qu’il est possible de se
déplacer dans cette dernière suivant un 4ième axe que nous nommerons :
– ana ou kata (pas de panique ce ne sont que des lettres grecques !).
Pour en savoir plus, un lien ici.
Alors comme on va le voir, les mystères précédents s’expliquent aisément.
Une idée qui pourrait changer notre vision du monde
Une quatrième dimension d’espace impliquerait d’abord que notre univers serait beaucoup plus grand qu’on le pense. La question reste maintenant d’arriver à détecter cette nouvelle dimension et encore plus fort, d’y pénétrer (et si possible d’en revenir !).
C’est précisément comme cela que les aliens s’y prennent pour procéder aux enlèvements, ils accèdent à la quatrième dimension.
Pour commencer à comprendre ce concept, il suffit de se dire que si je me déplace ne serait ce que d’un millimètre dans la 4e dimension (dans le sens « ana » par exemple), alors pour une personne située à coté de moi, je disparais immédiatement de sa vue.
En effet, nous ne percevons pas la 4e dimension avec nos sens, 3 dimensions c’est tout !
Ensuite, si je me déplace à nouveau de 1 mm mais cette fois dans l’autre sens (« kata »), alors je réapparais comme par magie !
Comprenez qu’il n’y a rien de magique là dedans, c’est comme ainsi que cela fonctionne, les mathématiques nous le disent sans ambiguïté.
A t’on des preuves de l’existence de la 4e dimension ?
La 4ième dimension fut pendant longtemps considérée comme hypothétique , cependant, sa réalité ontologique a été démontrée avec une quasi certitude à travers les expériences de
« mort imminente » ou NDE (Near Death Experience).
En effet, le Dr Jean Pierre Jourdan , chercheur sur les NDE, a eu l’idée lumineuse d’interpréter les descriptions issues des expériences de mort imminentes à l’aide d’un d’espace à 4 dimensions.
Le billet publié ici a déjà évoqué ce sujet en détail avec les explications afférentes.
L’existence ontologique de la 4e dimension revient à dire que notre univers 3D tout entier est immergé dans un espace plus vaste constitué de 4 dimensions d’espace.
Par ailleurs, de plus en plus de physiciens travaillent sur des modèle d’univers à 5 dimensions (4 d’espace + 1 de temps).
Citons par exemple les travaux de Lisa Randall et Raman Sundrum qui postulent que les forces fondamentales qui relient les particules entres elles confinent ces dernières dans 3 dimensions d’espace sauf pour la gravitation qui s’exercerait dans toutes les dimensions.
Cela expliquerait pourquoi cette dernière est incommensurablement plus faible que les 3 autres .
Les aliens maîtrisent la 4e dimension d’espace
Revenons maintenant au cœur du sujet.
Nous avons vu que notre univers est très probablement immergé dans un univers plus vaste possédant 4 dimensions.
Il suffit alors de faire l’hypothèse que la matière ordinaire (celle qui nous constitue par exemple) peut pénétrer dans cette dimension si on l’oblige à le faire.
A partir du moment où l’on a déterminé le moyen de se déplacer dans les 4 dimensions, il suffit de fabriquer un véhicule capable de s’y propulser.
C’est précisément l’une des hypothèses de ce billet, à savoir que les aliens maitrisent la navigation 4D.
(*) c’est le cœur du problème pour les physiciens, s’ils arrivent à théoriser et à vérifier empiriquement un univers 5D, alors la technologie suivra immanquablement.
Beaucoup de mystères s’éclaircissent
Les « ufologues » se sont perdus en spéculations stériles sur l’endroit où serait basée toute l’infrastructure des aliens qui nous visitent.
Car en effet, les nombreux véhicules aériens visualisés par des témoins de part le monde sont forcément stockés quelque part avec des stations de maintenances très conséquentes.
Il doit donc exister de lourdes infrastructures techniques et des bases de ravitaillement.
Si tout cela est « caché » à une distance probablement très proche de notre univers mais dans la direction ana ou kata, alors ces infrastructures seront complètement indétectables et invisibles pour nous.
Pas besoin d’imaginer d’hypothétiques bases dans le système solaire ou de supposer qu’ « ils » viennent d’un autre système stellaire, non, ils sont juste à coté, mais indétectables (pour l’instant).
Nous pouvons donc en toute sécurité (pour eux) envoyer toutes les sondes que l’on veut pour explorer le système solaire, nous ne trouverons rien.
Quant aux enlèvements, le principe est très simple, il suffit à nos visiteurs de naviguer hors de notre plan d’espace et
« d’émerger » au dernier moment dans la pièce où se situe leur victime, aucun témoin au voisinage de l’enlèvement ne remarquera alors quoi que ce soit.
Le passage apparent à travers les portes ou les murs s’explique aussi très facilement, en effet, lorsque le témoin est entrainé dans la 4e dimension, alors son cerveau « croit » qu’il traverse un solide alors qu’en fait, il passe à coté mais par un chemin non perceptible par nos 5 sens.
Évidemment, tout cela n’est pas très rassurant car on comprend immédiatement qu’aucun lieu sur terre n’est sûr.
En effet, les aliens peuvent pénétrer facilement dans tout endroit fermé en passant par la 4e dimension.
Enfin, pour le mystère des engins dont l’intérieur semble plus vaste que l’extérieur, tout s’explique également.
En effet, la partie visible dans notre espace ne représente qu’une partie de l’engin (un sas), le reste de sa structure est situé dans la 4e dimension.
Après avoir pénétré dans ce sas, le témoin se déplace alors d’une certaine distance dans la 4e dimension et pénètre dans d’autres zones de l’engin qui peuvent être beaucoup plus grandes.
Or le témoin ne sait pas tout cela et donc, il croit que l’intérieur de l’engin est plus grand que l’extérieur et il ne comprend pas !
Terminons par une vidéo trouvée sur le net dont on ne peut bien sur garantir l’authenticité, mais qui représente très exactement ce qui se passerait pour un témoin dans la pièce si des aliens voulaient enlever une personne en émergeant de la 4e dimension juste en dessous d’elle.
D’après la source, cette vidéo a été tournée par une caméra automatique mise en place par une personne semblant subir des enlèvements à répétition.
Vidéo disponible ici (sauvegarde).
Site source :
http://www.mojvideo.com/video-alien-abduction-caught-on-film/a66623920a3fd4334300
Comme on le voit, la personne sous son drap semble disparaitre vers le bas comme si elle tombait dans son matelas. En fait, un accès vers la 4e dimension a été ouvert en dessous d’elle. Lors du retour, c’est la même chose à l’inverse.
Cette technique d’enlèvement est très efficace car elle cible la victime sans attirer le moins du monde l’attention de son environnement.
Les conjoints des personnes enlevées ne se rendent compte de rien même s’ils sont à coté d’eux lors des rapts, ils sont d’ailleurs « poussés » à ne pas se réveiller.
Les victimes ont cependant fréquemment des souvenirs indirects ainsi que des symptomes psychologiques pouvant aller jusqu’à un syndrome de stress post-traumatique.
C’est ce qui pousse un certain nombre de ces dernières à consulter un psychiatre.
La boucle est bouclée, vous pouvez maintenant relire cet article depuis le début !
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Un article plus détaillé sur ce lien :
Enlèvements « extraterrestres », une partie du mystère dévoilée
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