Dans la nuit de lundi à mardi (des 16 et 17 avril), Angélina, sa fille et son copain, font état d’un mystérieux bruit au-dessus de la maison, comme « une ventilation, une soufflerie surpuissante ».
Sont-ils les seuls à avoir été témoins de ça ? "Impossible", pensent-ils.
Chécy. Nuit de lundi à mardi (16-17 avril). Il est une heure du matin.
Angélina (*) est couchée depuis minuit, mais ne parvient pas à trouver le sommeil.
Quand soudain, décrit-elle, « j’entends un bruit énorme au-dessus de la maison, comme un aspirateur, une ventilation ou une soufflerie surpuissante. Un son totalement inconnu. »
Il est pile 1h03 à son réveil, quand elle ouvre sa fenêtre, côté parking, se penche vers la gauche, et dit apercevoir « deux lumières, une rouge, une blanche », qui s’éloignent dans la nuit sans lune.
« C’était très bas, à hauteur d’arbres peut-être. Ça venait de la Loire et partait en direction du collège Mendes. Les lumières, bien éloignées l’une de l’autre, ont ensuite disparu le long de la maison. »
Deux secondes de visuel, peut-être.
"Ça a duré, quoi, dix à quinze secondes"
Presqu’au même moment, deux têtes apparaissent à une autre fenêtre. Côté jardin, face à la salle George-Sand.
Sa fille Margot et son copain entendent, eux aussi, la mystérieuse ventilation venue du ciel.
« On a vu aucune lumière, on n’était pas du bon côté visiblement, relatait le couple, ce vendredi. Ça a duré, quoi, dix à quinze secondes, pas plus », estime-t-il.
Sur le coup, la maman ne souhaite pas déranger sa fille.
« Inutile de l’inquiéter pour rien. Je suis donc retournée au lit, sans pouvoir réellement trouver le sommeil. J’étais inquiète. De ma vie, je n’avais jamais entendu un truc
pareil. »
Ce n’est ainsi qu’au cours de la journée que mère et fille en parlent.
« Quelque part, j’étais rassurée. Eux aussi avaient entendu, je n’étais donc pas folle », plaisante à présent Angélina, qui n’a pas osé aller demander aux voisins s’ils avaient entendu.
« On ne peut pas être les seuls, c’est impossible?! » Angélina a donc décidé de contacter La Rep pour s’en convaincre (voir appel à témoin ci-dessous).
« Je n’ai pas vu de forme, ni de matière, mais je sais que c’est passé juste au-dessus de nos têtes. »
Un avion militaire peut-être ?
Possible, dans la mesure où, ce vendredi, la direction des vols de la base de Bricy nous confirmait bien des exercices de nuit dans la semaine. « Ce n’était pas un avion. On était très loin du bruit de moteur ou de réacteurs. J’ignore ce que ça pouvait être… »
(*) Les prénoms ont été changés.
Pourquoi ça tombe toujours sur Chécy ? Comme le mystère du crop circle...
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