D'êtres semblables à de très petits hommes aux incohérences de l'hypothèse extraterrestre - 03 Février 2017

Lutin mauve

 

Cet article est tiré du blog de Daniel HARAN, défenseur de l'idée qu'il existe dans notre monde physique des Manifestations Inter-Dimensionnelles (MIDim), par lesquelles des êtres d'une autre dimension – que nous définirons "êtres élémentaux" dans la plupart des cas – envoient des signes de leur présence aux hommes.

Pour Daniel HARAN il  existe de nombreuses autres formes de MIDim, qui sont encore aujourd'hui considérées comme des phénomènes mystérieux, d'origine inconnue.

 

Parmi ceux-ci il inclut : 

les crop circles, les OVNIs, les Orbes (ou sphères lumineuses),

les chutes de pierres inexpliquées,  les émissions de bruits mystérieux, les disparitions d'objets divers, les enlèvements d'êtres humains, certaines disparitions d'êtres humains, les 

« hommes en noir », les mutilations animales inexpliquées, les pierres mouvantes (dans la Vallée de la Mort aux États-Unis notamment), les statues ou peintures qui pleurent ou qui saignent, les apparitions mariales, et enfin les phénomènes spirites.

Pour lui cette liste parait très éclectique, mais tous ces phénomènes, dont la réalité est avérée même s'ils sont peu connus, sont inexpliqués par la science moderne.

 

Pour chacun d'eux, l'observation montre qu'ils sont gouvernés par une intelligence non-humaine, invisible. C'est d'ailleurs pour cette raison que plusieurs d'entre eux sont habituellement associés à l'hypothèse d'une origine extraterrestre.

 

LES ÊTRES DE LA NATURE

 

Daniel HARAN avance donc l'idée que la plupart des phénomènes mystérieux de type OVNI ou crop circles sont des manifestations d’êtres de la nature.

 

Mais pour beaucoup de gens, la difficulté première pour accepter de prendre en considération cette interprétation nouvelle est que les hommes de notre époque ne croient pas en l’existence de ces êtres.

 

Et même si on leur explique que ces êtres étaient bien connus et respectés des hommes d’autrefois, que la religion islamique en parle abondamment (les djinns), que les petits enfants et les clairvoyants les perçoivent directement, ceci reste intellectuel et ils n’y croient pas davantage.

 

Pourtant, d’autres témoignages sérieux prouvent que ces êtres existent réellement, même de nos jours.

 

En effet, en ce 21ème siècle, dans certaines régions d’Afrique noire encore en partie préservées de l’influence de la civilisation occidentale, la culture indigène connaît l’existence d’êtres, semblables à de petits hommes, qui sont habituellement invisibles et vivent dans « un autre monde » que le nôtre.

 

A ce sujet, deux ouvrages récents méritent toute notre attention car ils ont été écrits par deux hommes qui ont personnellement rencontré de tels êtres.

 

Le premier, intitulé « Sagesse africaine » a été écrit par un auteur africain, Malidoma Patrice Somé, initié aux traditions encore vivantes par les Anciens de son village et plus tard instruit à un haut niveau dans des universités prestigieuses, en France et aux États-Unis. Cette double formation lui a permis de faire un pont extrêmement précieux entre la culture traditionnelle africaine et la culture occidentale moderne.

 

Le deuxième ouvrage a pour titre « Rencontre avec des êtres d’un autre monde » (auteur : Maen). Il a été écrit par un Français, qui est sans doute le premier homme occidental à avoir pu rencontrer directement et à plusieurs reprises de tels êtres, grâce à ses contacts privilégiés avec un guérisseur traditionnel.

 

Ces êtres sont décrits comme des êtres très intelligents et très puissants qui vivent dans une dimension proche de la nôtre, de petits êtres semblables à ceux que la mythologie occidentale appelle des lutins.

 

Ces auteurs expliquent comment ils ont pu les rencontrer physiquement, dans des grottes. Ils ont pu les toucher, échanger des objets, et même parler avec eux.

 

Tout ceci paraît tout à fait incroyable mais ces témoignages sont authentiques. La description qui en est faite conduit à voir une très grande similarité avec les êtres de la nature, tels qu’on les appelle en Occident.

 

C’est grâce à leur mode de vie marqué par des rapports intimes avec la nature que ces peuples indigènes d’Afrique ont développé depuis des temps très anciens le contact et la connaissance de « ces êtres d’un autre monde ».

 

En Occident, c’est le développement de la société technologique et matérialiste qui a entraîné pour les hommes la perte de leurs capacités de perception de ces êtres, puis la fin des relations avec eux et l’oubli de leur existence.

 

En fait, ces connaissances sont courantes aussi en Asie et probablement ailleurs, dans les peuples qui ont pu conserver un lien étroit avec la nature, étant encore relativement préservés de l’influence occidentale.

 

Ces êtres, qui vivent dans une autre dimension que la nôtre, sont tout aussi présents qu’autrefois, que les hommes les perçoivent ou pas.

 

En Afrique noire, ils sont au service des hommes grâce en particulier aux guérisseurs traditionnels avec qui ils ont de fréquents contacts, car les hommes les reconnaissent et les respectent.

 

Ailleurs dans le monde, ils envoient régulièrement aux hommes qui les ignorent des signes de leur existence, mais selon les pays ou les régions, ils se manifestent sous des formes différentes, car ils sont très indépendants entre eux.

 

Farfadet coloré

 

Le témoignage personnel de l’auteur du livre « Sagesse africaine » (Malidoma Patrice Somé) est très instructif pour mesurer la difficulté considérable, presque insurmontable, qu’il y a pour chacun à concilier la vision matérialiste des Occidentaux avec la connaissance de l’existence d’êtres vivant sur Terre dans des plans invisibles.

 

Cet auteur africain rapporte qu’au cours de ses études secondaires, qu’il a suivies dans son pays dans une école dirigée par des missionnaires blancs, il avait été contraint à assimiler la conscience occidentale, associée à un sentiment de supériorité.

 

Il lui fallut longtemps, quand il revint ensuite dans son village, pour reconnaître la valeur de la vision indigène sur la réalité du monde, cette vision étant très différente de la vision occidentale.

 

Il s’est rendu compte que l’instruction qu’il avait reçue l’avait tellement formé à analyser les choses que, quand il n’arrivait pas à comprendre certains événements, il les écartait lui-même comme « des supercheries primitives, indignes d’une pensée civilisée. »

 

Ce n’est que longtemps après qu’il a pu comprendre que

 

« ce qu’il croyait être son esprit civilisé était en fait un esprit plutôt borné » (sic).

 

Ce témoignage est très précieux parce qu’il provient d’une personne parfaitement qualifiée pour établir un pont entre la culture indigène africaine et la culture moderne occidentale, et qui pourtant a eu beaucoup de mal à concilier les deux.

 

Il permet de comprendre pourquoi l’article publié en 1983 puis de nouveau en 1988 par Gordon Creighton au sujet de l’origine des ovnis, a été complètement ignoré par la communauté ufologique, sans être même discuté.

 

Dans cet article étaient rapportées des connaissances de la religion et des traditions islamiques sur les djinns, méconnues en Occident.

 

Les capacités des djinns (nom donné à certains êtres de la nature par la religion islamique) étant étonnamment proches des caractéristiques des manifestations d’ovnis.

 

Gordon Creihton concluait logiquement que ces êtres pouvaient être les auteurs des ovnis (cet article, intitulé « Brief account on the true nature of the ufo entities », a été traduit et intégré en annexe du livre « OVNIs, Crop circles et MIDIM », de Daniel Harran).

 

Or, ces connaissances sur les djinns  – des êtres invisibles mais très intelligents et présents sur Terre dans une autre dimension – sont radicalement opposées à la vision matérialiste du monde en Occident.

 

On peut comprendre alors qu’il était, et il est encore, très difficile pour les esprits occidentaux de les accepter comme des réalités.

 

Elles ont été, et elles sont encore très souvent, automatiquement rejetées, parce qu’incompatibles avec la vision scientifique du monde.

 

Il n’aura sans doute pas échappé au lecteur que, les mêmes causes entraînant les mêmes effets, la communauté ufologique a encore aujourd’hui une très forte tendance à ignorer la présente étude qui conduit à voir dans les ovnis des manifestations d’êtres de la nature, et se situe ainsi dans le prolongement du travail de Gordon Creighton.

 

Cette situation est une conséquence de la difficulté énorme à laquelle chacun est obligatoirement confronté quand il cherche à comprendre la nature des ovnis, du fait des conditionnements reçus inconsciemment dans notre société moderne, qui nous enferment dans une vision matérialiste du monde.

 

Cette réflexion permet de comprendre qu’aujourd’hui encore, l’hypothèse extraterrestre reste l’hypothèse dominante pour interpréter l’origine des ovnis.

 

Cette hypothèse est pourtant incompatible avec plusieurs caractéristiques du phénomène ovni et un certain nombre de chercheurs sont réservés à son égard mais, selon les termes du rapport COMETA, c’est la seule hypothèse qui ne fasse appel qu’à la science d’aujourd’hui et c’est pourquoi elle est implicitement admise par la grande majorité des gens.

 

Seuls ceux qui, parmi les vrais chercheurs, parviennent à se libérer des conditionnements inculqués par la vision scientifique du monde, pourront espérer toucher la vérité sur cette question essentielle de la nature des ovnis, comme sur beaucoup d’autres phénomènes inexpliqués par la science.

 

 

Les incohérences de l’hypothèse extraterrestre

 

Il est largement admis que les OVNIs, comme les crop circles (authentiques), sont animés ou réalisés par des êtres intelligents non-humains.

 

Qui sont-ils ?

 

Les inconditionnels de la science, sous l’emprise de la vision matérialiste du monde, sont persuadés que l’être humain est le seul être intelligent sur Terre.

 

Selon eux, ces intelligences non-humaines viennent donc nécessairement de l’espace : c’est l’hypothèse extraterrestre bien connue, qui domine aujourd’hui encore parmi tous les chercheurs et passionnés de ces phénomènes.

 

1. Les Insuffisances de l’hypothèse extraterrestre :

 

Or cette hypothèse extraterrestre n’a apporté aucune réponse capable d’expliquer le comportement jugé « aberrant » des OVNIs au regard de la science.

 

Elle n’explique pas davantage comment des crop circles peuvent être réalisés … en quelques secondes sans cause visible.

 

Elle n’a pas permis que de nouvelles théories scientifiques soient proposées, qui puissent rendre compte de ces phénomènes, lesquels restent inexpliqués.

 

C’est pourquoi l’hypothèse est parfois prolongée par l’idée que les auteurs de ces phénomènes seraient présents dans une autre dimension, un autre espace-temps dans lequel les lois physiques seraient différentes.

 

Mais bizarrement cette idée reste toujours associée à l’hypothèse extraterrestre : les êtres qui pilotent les OVNIs seraient des êtres d’origine extraterrestre présents dans une autre dimension.

 

Il n’a pas été envisagé (en dehors du blog de Daniel HARRAN « Ecoute la Terre » …), que les auteurs puissent être présents dans une autre dimension et en même temps d’origine terrestre.

 

Pour qui s’efforce d’observer objectivement cela, cette idée d’une autre dimension est envisagée de façon très restrictive.

 

On peut voir là l’influence (ou le conditionnement) imposée par la vision matérialiste de la science. Car cela signifierait implicitement que la réalité d’une vie dans une autre dimension pourrait exister ailleurs, dans d’autres systèmes stellaires, et non pas chez nous sur Terre !

 

Cette limitation n’est pas logique.

 

2. Incohérences de l’hypothèse extraterrestre :

 

De plus, l’incohérence de l’hypothèse extraterrestre vis-à-vis de certaines caractéristiques du phénomène a été relevée par un certain nombre de chercheurs.

 

En effet parmi les caractéristiques du phénomène OVNI on peut noter :

 

- le nombre très élevé de manifestations observées, qui se chiffre par millions,

 

- l’ancienneté avérée du phénomène, qui remonte au moins à l’Antiquité, alors que les formes de manifestations semblent avoir peu évolué depuis cette époque,

 

- le comportement souvent ostensible de ces objets, qui cherchent à attirer notre attention, mais restent toujours insaisissables et équivoques,

 

- le caractère apparemment absurde de certaines manifestations (selon les critères habituels de la raison), qui a été souvent rapporté.

 

Quant au phénomène des crop circles, il intrigue aussi par le fait que leurs réalisations se chiffrent par milliers (tous différents) depuis trois décennies.

 

Ces caractéristiques ne sont pas cohérentes avec l’idée de visiteurs extraterrestres.

 

Il est raisonnable de penser en effet que, si des êtres en provenance d’une autre planète ou d’un autre système stellaire étaient capables de venir sur Terre, (et on peut penser que c’est très probablement le cas), ils seraient nécessairement beaucoup plus évolués que les êtres humains et auraient atteint des niveaux de savoir, de savoir-faire et de savoir-être bien au-delà du niveau actuel des hommes.

 

En conséquence :

 

– soit ils resteraient parfaitement discrets pour observer la Terre et les hommes, sans les perturber et sans interférer dans leur évolution, ce qui est incompatible avec le nombre très élevé et l’ancienneté des observations, incompatible également avec le caractère très souvent ostentatoire des OVNIs,

 

– soit ils se manifesteraient comme des « tuteurs », attentifs à l’évolution des hommes pour les aider discrètement sans interférer, ce qui n’est pas cohérent avec le comportement ostentatoire et parfois absurde des OVNIs,

 

– soit ils se manifesteraient ouvertement aux yeux de tous et interviendraient, de façon bienveillante ou pas, pour influencer leur évolution, ce qui n’est manifestement pas le cas.

 

Cette hypothèse extraterrestre, bien que parfaitement logique compte tenu des connaissances de la science d’aujourd’hui, n’est donc pas cohérente et n’a d’ailleurs jamais été validée à ce jour.

 

Pourtant, beaucoup de personnes, considérant que c’est la seule hypothèse qui puisse être sérieusement envisagée, pensent que cela suffit pour la valider et la prennent pour une vérité, au point que le phénomène OVNI est devenu pour la plupart des gens synonyme d’origine extraterrestre.

 

Par contre, l’étude développée par « Ecoute la Terre » a montré que l’hypothèse d’êtres intelligents présents sur Terre dans une autre dimension, basée sur la réappropriation de connaissances anciennes et oubliées, est parfaitement cohérente avec les caractéristiques des phénomènes.

 

 

3. L’hypothèse extraterrestre adaptée à quelques cas exceptionnels :

 

Un petit nombre de rapports d’observations d’OVNIs, à l’exemple de la rencontre de Valensole en France (1965), se distinguent par le fait que des êtres d’apparence humanoïde ont été surpris en train d’observer ou de prélever des échantillons de végétaux au sol.

 

Mais aussitôt ces êtres se sont retirés dans leur vaisseau stationné tout près et ont rapidement disparu, sans chercher à contacter les témoins.

 

Ces cas-là restent rares, mais il est vrai que ces récits frappent très fortement l’esprit de ceux qui les connaissent.

 

Ils se différencient par le fait qu’il n’y a dans ces cas-là aucun comportement ostensible de la part de ces êtres, mais au contraire une attitude d’évitement par rapport aux hommes, avec une volonté de ne pas interférer dans leurs activités.

 

Ces comportements étant totalement opposés à ceux observés dans tous les autres cas, il semble logique de penser que l’origine de ces OVNIs et de ces êtres serait différente, et que l’origine extraterrestre serait ici justifiée.

 

Mais ces cas restent très exceptionnels.

 

Commentaire de Daniel HARAN :

 

C'est  l’humanité dans son ensemble qui est confrontée à cette question de la nature et de l’origine de ces OVNIs, car ils existent partout dans le monde, et depuis très longtemps.

 

Les scientifiques et les politiques ne se prononcent quasiment jamais sur ce sujet.

 

Deux raisons sont possibles à leur silence:

 

– soit ils ne s’y intéressent pas, et c’est le cas de la très grande majorité des scientifiques et des politiques;

 

– soit ils (les politiques) ont compris que des êtres intelligents non-humains viennent là intervenir dans les affaires des hommes. La croyance dominante veut que ces êtres soient d’origine extraterrestre. Les politiques, dont la volonté est de diriger les peuples, voient là une concurrence possible à leur pouvoir, ou pour le moins une limitation à leur pouvoir car ils sont complètement impuissants devant ces êtres et dépassés par leurs capacités.

 

Ils préfèrent donc « faire l’autruche », c’est à dire faire semblant de ne pas voir le problème, faire comme s’il n’existait pas, et faire croire qu’il n’existe pas.

 

« Qui et que croire » : c’est à chacun de nous de se faire sa propre opinion, et de faire preuve de discernement.

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