Les spéculations et les théories concernant l’existence de planètes encore inobservées dans notre système solaire circulent depuis des siècles. Chaque découverte d’une nouvelle planète extérieure a été précédée par la détection d’anomalies dans les mouvements erratiques et inexplicables de la planète la plus éloignée alors connue.
Par exemple, avant que l’existence de Neptune ne soit déterminée, les astronomes avaient théorisé pendant des décennies que le mouvement irrégulier d’Uranus (découverte en 1781) pourrait être causé par la présence d’une autre planète alors inconnue. Ce qui fut démontré en 1846 lorsque Neptune a été aperçue et identifiée pour la première fois.
Pluton, la neuvième planète (en 2006, elle a été détrônée de ce titre et reléguée au statut de planète naine), a été découverte en 1930 et Charon, la lune de Pluton découverte ultérieurement, a ensuite été utilisée pour expliquer les « vacillements » observés dans les orbites respectives d’Uranus et Neptune. Ainsi, les erreurs dans le calcul des positions précises des planètes connues présentent un modèle durable de confirmation ultérieure de l’origine de ces erreurs, déterminée avec chaque planète nouvellement découverte.
Par conséquent, depuis plus d’un siècle, les débats scientifiques se poursuivent concernant l’existence d’autres grandes planètes ou de planètes naines appartenant à notre système solaire qui seraient toujours là dans l’espace en attente d’être trouvées, permettant d’expliquer d’autres anomalies.
La planète comète de Carlos Ferrada…
En 1940, l’astronome chilien Carlos Muñoz Ferrada [1909-2001] ne s’était pas trompé en prévoyant que les pouvoirs en place seraient tentés de camoufler l’existence de la planète X [dont il avait déjà confirmé l’existence] tandis qu’elle foncerait vers la terre. Ferrada qualifiait la planète X (Nibiru) de « planète comète » parce qu’elle a la taille d’une planète, mais la vitesse et l’orbite elliptique d’une comète.
La 12e planète…
L’existence de la planète inobservée la plus controversée dans notre système solaire, surnommée Nibiru ou planète X, a été popularisée en 1976 par le célèbre chercheur et auteur Zecharia Sitchin dans son livre à succès intitulé La 12ème planète. Un des rares savants capables de lire et d’interpréter les tablettes d’argile sumériennes, Sitchin s’est appuyé sur ces anciens textes pour soutenir l’existence de la planète X (aussi appelée Nibiru le Destructeur dans les anciens textes) qui reviendrait vers la Terre tous les 3 600 ans.
Les Sumériens ont vécu il y a plus de 6 000 ans dans ce qui est aujourd’hui l’Irak. On leur attribue la première civilisation connue sur Terre, ainsi que l’invention des mathématiques, de l’écriture, de l’agriculture, du droit, des écoles, de l’astronomie et de l’astrologie.
Un système binaire – le Soleil et Némésis…
Notre système solaire et son soleil sont semblables à 90 % des systèmes solaires de la Voie lactée, qui font partie d’un système binaire contenant deux étoiles ou plus. Le système de la planète X peut être considéré comme une mini-constellation* composée de la jumelle de notre soleil, appelée Némésis et catégorisée comme étoile naine brune.
Cette étoile est généralement invisible, même en infrarouge en raison des nuages de poussière d’oxyde de fer rouge qui l’entourent. Il y aurait au moins trois planètes qui gravitent autour de Némésis, dont Nibiru et Hélion qui possèdent des lunes, ainsi qu’Arboda.
Bien que Nibiru se déplace le long d’une orbite elliptique et pénètre notre système solaire environ tous les 3 600 ans, traversant une par une les orbites des planètes de notre système solaire, elle ne gravite pas autour de notre soleil [mais autour de Némésis].
D’autres sources estiment que la planète X ne peut être détectée qu’en infrarouge. Incidemment, l’observatoire du Vatican exploite un télescope infrarouge parmi les plus puissants et les plus évolués dans le monde. Appelé LUCIFER , il est situé à l’observatoire de Mount Graham, en Arizona, et dirigé par un jésuite, le père José G. Funes.
En 1990, le chercheur-auteur Zecharia Sitchin a interviewé l’astronome Robert S. Harrington, superviseur de l’US Naval Observatory (observatoire astronomique de la marine américaine), pour discuter de sa récente découverte de la planète X, [une planète] rouge. Harrington avait spécialement mis en place un observatoire télescopique en Nouvelle-Zélande afin d’observer la planète X.
Toutefois, le réputé directeur de l’observatoire naval est subitement et mystérieusement décédé à l’âge de 50 ans d’une forme rare de cancer, dans des circonstances suspectes. Son épouse est convaincue qu’il a été assassiné pour avoir semble-t-il révélé trop d’informations concernant la planète X.
Pourtant, deux ans après l’entrevue de Sitchin avec M. Harrington, et quelques mois seulement avant le décès de Harrington en janvier 1993, un communiqué de presse de la NASA soutenait encore publiquement l’existence de la planète X (Nibiru) :
‘’Des écarts inexpliqués dans les orbites d’Uranus et de Neptune pointent vers l’existence d’un corps céleste de grandes dimensions (4 à 8 fois la masse de la Terre) aux limites du système solaire, suivant une orbite fortement inclinée, à plus de 7 milliards de miles du Soleil.’
Toujours en 1992, un scientifique de la NASA nommé Ray T. Reynolds a publiquement affirmé avec assurance que « les astronomes sont tellement sûrs de l’existence de la dixième planète qu’ils estiment qu’il ne reste plus qu’à la nommer ». À ce moment-là, c’était tout juste s’il ne restait plus à la NASA qu’à hurler « Nibiru ! » du sommet des montagnes.
Mensonges et désinformation…
Mais depuis la mort prématurée de Harrington, à quelques exceptions près, le couvercle a été fermé hermétiquement pour empêcher que toute information plus précise ne soit diffusée par les sources traditionnelles directement au public.
Apparemment, le gouvernement américain avait pris la décision de garder sous le boisseau l’existence de Nibiru et son potentiel destructeur pour la Terre. Au cours des dernières années, les autorités fédérales ont employé des trolls pour diffuser de la désinformation et de la propagande mensongère afin de discréditer toute personne qui tenterait de dévoiler la vérité.
En plantant des complices affairés à multiplier activement les campagnes concentrées de désinformation et de dénigrement mensongers, l’élite s’assure que cette histoire qui refuse de disparaître ne sera pas entièrement divulguée.
Les prédictions hautement publicisées de catastrophes qui s’avèrent des non-événements font partie des tactiques les plus couramment employées, comme le récent tremblement de terre du 28 mai [2015] sur la faille de San Andreas, qu’on avait délibérément prévu pour correspondre au lancement du film du même nom; ou les scénarios de fin du monde associés au calendrier maya en 2012, autre non-événement; ou l’ère glaciaire du 5/5/2000 qui n’est jamais venue; et qui peut oublier le fiasco du bogue de l’an 2000 ? Et ainsi de suite…
Plus nous avons de ces prévisions de « fin du monde » qui se révèlent fausses, plus il y a de chances que les avertissements légitimes concernant la planète X soient sommairement moqués et ignorés.
Le syndrome du « garçon qui crie au loup » désensibilise efficacement la population et lui fait douter que les preuves et la vérité concernant Nibiru soient considérées sérieusement par une personne raisonnable, quoi qu’en dise la foule des réalistes de la conspiration portant un chapeau d’aluminium qui ont plus souvent raison que tort ces temps-ci quand il s’agit d’exposer les innombrables dissimulations, opérations sous fausse bannière (false flags) et mensonges des gouvernements.
Est-ce que le ciel va nous tomber sur la tête ?
Plutôt que de fouiller dans la mythologie antique ou la prophétie biblique, comme le font déjà de nombreuses spéculations sur Nibiru, la suite de cette présentation mettra l’accent sur un examen des preuves scientifiques les plus tangibles et les plus crédibles présentées par les astronomes et les astrophysiciens qui, au cours des dernières années, ont mis en jeu leur carrière, leur réputation et même leur vie en faisant la promotion de leurs découvertes et conclusions controversées.
Preuves scientifiques…
Cette année plus que jamais, le mouvement visant à révéler la vérité concernant l’existence de la planète X a pris de l’élan, obtenant même l’appui nuancé de certaines personnalités bien en vue au sein de la communauté scientifique. Cet article va documenter ce recueil grandissant de preuves empiriques validant non seulement l’existence de la planète X, mais également son approche imminente vers la Terre.
L’existence de la planète X est connue depuis longtemps…
La controversée planète X et son système, faisant leur entrée dans notre système solaire avec des implications potentiellement catastrophiques, ont été présentés pour la première fois dans un article du Washington Post publié en 1983.
Le télescope astronomique infrarouge de la NASA avait découvert cette mystérieuse planète « peut-être aussi grande que Jupiter » près de la constellation d’Orion. Déjà il y a trente-deux ans, on la considérait comme le corps céleste le plus proche de la Terre au-delà de Pluton.
Le chercheur et activiste John Moore a longtemps affirmé qu’un certain nombre de ses sources ex-militaires et des services de renseignement gouvernementaux avaient indépendamment confirmé qu’une réunion hautement secrète avait eu lieu en 1979 dans une salle de réunion de La Nouvelle-Orléans, où des officiers généraux du plus haut rang de la marine américaine avaient originalement été informés de la venue catastrophe inévitable de la planète X, qui surviendrait de leur vivant.
En octobre 2003, un document hautement significatif et révélateur du Département de la Défense des États-Unis a été publié sous le titre « Un scénario de changement brutal du climat et ses implications pour la sécurité nationale des États-Unis ». Ce document soulignait la chute des niveaux de salinité des océans, entraînant «un effondrement de la circulation thermohaline ».
Une perturbation importante de la bande porteuse de l’Atlantique qui pousse l’eau salée chaude près de la surface en circulation vers le nord depuis le sud, tandis que les eaux en profondeur plus froides circulent vers le sud, aurait un impact dévastateur sur le climat mondial.
Le document conclut avec ces prédictions qui donnent à réfléchir : guerres pour les ressources énergétiques, alimentaires et en eau; sécheresses plus fréquentes sur des surfaces terrestres plus étendues; et violents changements climatiques entraînant des catastrophes naturelles de toutes sortes, plus fréquentes et de plus dévastatrices.
Une douzaine d’années plus tard, tous ces développements des plus inquiétants se manifestent clairement.
Les changements climatiques : une supercherie pour masquer la vérité ?
Bien sûr, le dogme scientifique actuellement politiquement correct énonce que le réchauffement climatique (alias changements climatiques) est entraîné par les gaz à effet de serre comme le CO2.
Cette tromperie massive est conçue pour masquer convenablement les nombreux effets nocifs dus à plusieurs décennies de géo-ingénierie, d’expériences avec le système HAARP, de modifications et de guerres climatiques, sans mentionner la « non existante » planète X qui fonce sur nous depuis les confins du système solaire et qui est susceptible d’entraîner d’énormes bouleversements à la surface de toutes les planètes de notre système solaire, incluant bien sûr l’atmosphère et la surface de notre propre planète.
En mars 2010, le journal britannique grand public The Telegraph a publié un article intitulé « À la recherche de l’Étoile de la mort qui éjecte des comètes mortelles ». Le sous-titre indiquait que la NASA était à la recherche de l’étoile jumelle du soleil, la naine brune Némésis qui tourne lentement autour de notre soleil et qui « catapulte » périodiquement des comètes mortelles vers la Terre.
Ainsi, aussi discrète que la NASA soit demeurée au fil des années, des bribes d’information provenant de sources
« fiables » continuent d’atteindre le public de temps à autre, indiquant qu’elle est toujours à l’affût du cataclysmique système dont fait partie la planète X.
L’article ajoute que cette étoile ayant « cinq fois la taille de Jupiter » demeure le principal suspect pour l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années.
Le trophée le plus récent de la NASA lui permettant d’explorer les cieux, le Wide-Field Infrared Survey Explorer (WISE, en français « Explorateur à grand champ pour l’étude dans l’infrarouge ») a pu détecter la faible chaleur émanant de l’étoile naine à 25 fois la distance séparant la Terre du Soleil, ou un tiers d’année-lumière.
Lancé en janvier 2009, WISE a découvert jusqu’en octobre 2010 (on s’attentait alors à ce que son système de refroidissement s’épuise) au moins 1 000 étoiles naines situées à moins de 25 années-lumière du Soleil. Deux fois plus éloigné que Némésis réside le nuage d’Oort, une sphère de corps célestes glacés qui entoure notre système solaire.
Tandis que le système de la planète X pénètre notre système solaire, on estime que sa force gravitationnelle lance dans sa trajectoire des comètes et des astéroïdes constitués de débris spatiaux de grande taille et formés de roches et de poussières glacées qui bombardent les planètes de notre système solaire, y compris la Terre.
Le professeur John Matese de l’Université de la Louisiane/Lafayette estime que cette Némésis qui accompagne Nibiru au sein du système de la planète X est la principale source de la volée concentrée de comètes envoyée vers le centre de notre système solaire depuis le nuage d’Oort.
Influence gravitationnelle de la planète X…
En mai 2012, les sites livescience.com et examiner.com ont tous deux publié des articles pointant vers la découverte de la planète X. L’astronome Rodney Gomes de l’Observatoire national du Brésil à Rio venait de présenter de nouvelles preuves de l’existence de la mystérieuse planète lors d’une réunion de l’American Astronomical Society.
Gomes a démontré que les objets glacés situés à l’extérieur de l’orbite de Neptune dans le nuage d’Oort et affichant des mouvements irréguliers ne peuvent pas être expliqués par les lois mathématiques connues de l’astrophysique, mais peuvent l’être par l’influence gravitationnelle de ce qu’on appelle la planète X.
En outre, l’orbite particulière de la planète naine Sedna peut aussi seulement être expliquée par la présence d’une grande planète inconnue.
Les conclusions de Gomes ont été très bien accueillies par ses pairs, estimant qu’il avait bien fait ses calculs.
Mais bien sûr, ne voulant pas endosser complètement l’existence de la planète X, ils ont consciencieusement respecté la ligne officielle du statu quo scientifique et gouvernemental en tempérant leur enthousiasme avec un appel à plus de recherche et en proposant des théories alternatives qui n’impliqueraient pas une autre grande planète.
Puis, en novembre de l’an dernier, iflscience.com a indiqué que deux nouvelles planètes inconnues pourraient bien se cacher dans notre système solaire.
Un article publié en janvier 2015 par Space.com a également abordé la possibilité que deux autres planètes se déplaçant dans les limites extérieures de notre système solaire, au-delà de Neptune et Pluton, puissent influencer subtilement les orbites des planètes naines.
Carlos de la Fuente de l’Université Complutense à Madrid a déclaré :
‘’ Cet excès d’objets affichant des paramètres orbitaux inattendus nous incite à croire que des forces invisibles modifient la répartition des éléments orbitaux des OTNE [objets transneptuniens extrêmes], et nous considérons que l’explication la plus probable est que d’autres planètes inconnues existent au-delà de Neptune et Pluton. ‘’
En mars 2014, une autre équipe d’astronomes, Chadwick Trujillo et Scott Sheppard, a annoncé la découverte de 2012 VP113, un autre OTNE à rejoindre Sedna parmi les membres connus du « nuage d’Oort interne », cette sphère remplie de comètes qui se trouve juste au-delà de la ceinture de Kuiper et de Pluton.
Trujillo et Sheppard soutiennent que les orbites de ces deux objets sont conformes avec la présence d’un importan
« perturbateur », ayant jusqu’à dix fois la masse de la Terre.
Le système solaire est en pleine mutation…
Des changements majeurs et inouïs se produisent actuellement à la surface et dans l’atmosphère du Soleil, et de toutes les planètes.
L’astronome Mike Lockwood du Rutherford Appleton National Laboratories en Californie a révélé que depuis 1901, le champ magnétique global du Soleil a augmenté de 230 %. Les éruptions et les tempêtes solaires ont également augmenté.
La Lune a maintenant une atmosphère de natrium [sodium] d’une profondeur de 6 000 km, du jamais vu auparavant.
Mercure, la planète la plus rapprochée du soleil, a maintenant de la glace polaire.
La luminosité de Vénus a grimpé de 2 500 %, et son atmosphère a expérimenté des changements majeurs dans les quatre dernières décennies.
Pendant ce temps, plus loin du Soleil que la Terre, les calottes polaires de Mars ont fondu et l’ampleur de ses tempêtes s’est accrue de façon exponentielle.
La luminosité des nuages de plasma de Jupiter a augmenté de 200 %, accompagné par un motif intermittent d’épaississement et d’éclaircissement. Les énormes ceintures de la plus grosse planète dans notre système solaire [Saturne] ont changé de couleur, avec des niveaux de radiation qui faiblissent et augmentent de façon erratique.
Une augmentation des impacts d’astéroïdes et de comètes sur Jupiter, probablement attribuable à l’entrée de Nibiru dans notre système solaire, a également été observée.
Au cours des trois dernières décennies, le courant-jet sur l’équateur de Saturne a perdu de la vitesse, tandis que les rayons X à l’équateur ont bondi. Uranus est devenue plus lumineuse, et sa surface auparavant placide est maintenant agitée de nombreuses tempêtes.
La luminosité de Neptune a également augmenté de 40 %. La pression atmosphérique sur Pluton a bondi de 300 % en dépit de son éloignement accru du Soleil. Le plasma incandescent aux extrémités de notre système solaire a augmenté de 1000 %.
Les profonds changements constatés dans l’espace sont sans précédent. Une émission d’énergie accrue est en train de changer la structure fondamentale de toute la matière à travers notre système solaire. Pris dans leur ensemble, ces changements majeurs sont en toute probabilité dus au déplacement de la planète X au sein de notre système solaire.
La Terre n’y échappe pas…
Bien sûr, des changements prononcés sont également survenus sur la Terre, notamment des fluctuations électromagnétiques, un déplacement annuel plus prononcé de l’axe polaire, et des changements climatiques extrêmes. Par exemple, la municipalité de North Pole, en Alaska, a récemment vu des températures printanières tardives s’élever au-delà de 25 C.
De 1963 à 1993, la fréquence mondiale des catastrophes naturelles a bondi de 410 %. Et au cours des dernières années, le rythme des catastrophes naturelles a progressé encore plus rapidement. Avec un nombre croissant d’éruptions volcaniques le long de l’anneau de feu du Pacifique et des tremblements de terre ressenti globalement, en particulier le long des failles de San Andreas et de New Madrid, en plus du tremblement de terre de 7,8 survenu au Népal il y a quelques mois, les éruptions volcaniques et les tremblements de terre majeurs ont augmenté rapidement en 2015.
Déjà en 2013, dix volcans inactifs depuis longtemps se sont éveillés, premiers indices de la présence de la planète X. Le nombre d’éruptions volcaniques a augmenté de 500 % entre 1875 et 1975, mais la progression est maintenant encore plus rapide.
Une augmentation exponentielle des tremblements de terre de magnitude 3,0 ou plus secoue le cœur de l’Amérique en raison de la fracturation hydraulique, passant uniquement en Oklahoma de deux ou trois par année (avant la fracturation) à 562 l’an dernier seulement.
Depuis 1973, les tremblements de terre ont augmenté de 400 % dans le monde entier. Les tremblements de terre de magnitude 6,0 ou plus ont également grimpé au cours des dernières années, passant d’une moyenne de 108,5 tremblements de terre par année dans la décennie 1980 à 1989 à 160,9 tremblements de terre par année de 2000 à 2009, une hausse de 38,9 %.
Dans le premier trimestre de l’année 2014 seulement, les grands séismes ont été deux fois plus fréquents que la moyenne enregistrée depuis 1979. Il y a deux mois [c.-à-d. juillet 2015], des scientifiques de la Fondation européenne de la science ont averti que dans les années à venir, il existe une possibilité de 5 à 10 % qu’une éruption volcanique colossale catapulte la Terre vers la préhistoire.
Une hausse significative des glissements de terrain et des inondations a également été constatée.
Diminution du champ magnétique de la Terre…
Depuis 2 000 ans, le champ magnétique de la terre a progressivement diminué. Mais dans les 500 dernières années, cette baisse est devenue beaucoup plus dramatique. En septembre 2015, les scientifiques ont été choqués de constater le rythme alarmant de la disparition de la magnétosphère de la Terre. Ce bouclier naturel de la planète qui empêche les vents solaires et le rayonnement d’atteindre la surface de la Terre est en train de disparaître.
Cette découverte inquiétante survient tandis que l’activité des tempêtes solaires est également en forte progression cette année. Ces éruptions solaires menacent sérieusement d’interférer avec les communications par satellite et GPS, sans parler des risques croissants d’impulsions électromagnétiques qui pourraient être fatales pour le réseau électrique, plongeant instantanément des milliards de personnes dans le noir, sans aucune source d’électricité pendant des mois, voire des années.
Une diminution du champ magnétique aurait pour effet de doubler l’exposition aux radiations solaires, entraînant une épidémie de décès dus au cancer de la peau, une accélération des changements climatiques, et une progression des conditions météorologiques extrêmes.
Les vents solaires élimineraient les ions qui permettent à la Terre de retenir l’eau et l’air. Ces terribles changements se produisent actuellement. Ce que pratiquement aucun scientifique qui désire demeurer en vie ne veut révéler, c’est que ce rythme affreux de dégradation écologique et de changements fatals qui affectent la surface de la Terre est en toute probabilité causé par l’approche sans cesse plus rapide de la planète X.
Le truc de magie de Google Sky…
Un autre développement plutôt curieux en ce qui concerne la planète X, ce sont les actions étranges de Google Sky. Il y a plusieurs années, sans doute pour s’harmoniser avec le silence médiatique, Google a masqué une portion du ciel pour s’assurer que la planète X disparaisse de sa carte du ciel.
Puis, au court de cette année 2015, Google Sky a mystérieusement réinséré la grille manquante montrant clairement la flamboyante Nibiru avec ses ailes. Donc, elle est maintenant visible dans le ciel lui-même, et sur Google Sky… autre indication que le vent tourne vers la divulgation de la vérité concernant la planète X.
À la mi-avril [2015], l’Agence spatiale européenne a invité des astronomes, physiciens, ingénieurs nucléaires, mathématiciens, et même des militaires œuvrant dans la défense spatiale provenant du monde entier à une conférence tenue dans la banlieue de Rome pour discuter du sujet d’un astéroïde frappant la Terre, l’hypothèse proposée n’étant pas « si », mais quand.
Hum, cela ressemble au scénario cataclysmique concernant Nibiru, moins la planète interdite bien sûr.
Cette conférence de défense planétaire visant à élaborer des stratégies pour gérer collectivement les objets géocroiseurs [ou NEO, Near-Earth Objects] plongeant vers nous en utilisant la technologie des armes spatiales est devenue un événement annuel au cours des six dernières années. 12 700 astéroïdes ont été identifiés comme NEO ayant des orbites dans les 121 millions de miles de notre soleil principal.
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