LE DOCUMENTAIRE DE 45 MINUTES
LANGUE PORTUGAISE
COMMENTAIRES EN ANGLAIS
Les événements se sont principalement concentrés sur la ville de Colares, environ 2000
habitants, sur l'île du même nom, qui se trouve dans l'Etat du Pará, dans le delta du fleuve Amazone sur la côte Nord-Est du Brésil. Mais la région entière a été visitée par le même
phénomène.
En août 1977 sur l'île de Colares, une phénomène étrange à commencé à se produire, que
autochtones nommaient Chupa-chupa. Des objets lumineux étranges sont apparus au-dessus des quelques villes de la région. Ces objets projetaient souvent de minces rayons, apparemment de
lumière, dirigés vers les gens. Les personnes touchées s'évanouissaient et se sont réveillaient avec une anémie étrange. Elles témoignent qu'elles se sentaient comme si une partie de leur
sang a été prélevée par les rayons étranges.
Par exemple, le pêcheur Manoel João de Oliveira Filho, âgé de 44 ans, marié et résidant
au 64 de la rue Carneiro de Mendonça, flânait vers la plage tôt pendant un matin avec quelques compagnons, avant de passer une journé de pêche en mer. Avant qu'ils aient rejoint leurs
bateaux, ils ont vu - au-dessus de la plage de Rio Novo - un objet formé "comme un parapluie" stationnaire à environ 4m du sol. De sa partie la plus basse, une lumière blanche vive
était émise. Aucun bruit n'était audible depuis l'endroit où ils se tenaient. L'objet s'est alors écarté toujours en silence vers Machadinho, éteignant sa lumière quand il commença à
s'éloigner.
Un charpentier du nom de João Dias Costa âgé de 44 ans et un pêcheur nommé João Da Cruz
Silva de 54 ans, tous les deux de la ville de Colares, virent des "sphères lumineuses" et ont été très effrayés car celles ci étaient près de balayer leurs embarcations.Un autre homme de la
ville de Colares, Zarcarias Dos Santos Barata, 74ans, a vu des boules incandescantes pendant deux nuits. La première fois, l'objet est venu de la direction du comté de Marajó, et a
rapidement disparu vers l'intérieur de l'île de Colares. La deuxième nuit une autre boule, de couleurs bleues, a volé au-dessus du terrain de football local. "Elle a éclairé tous les arbres
autour du terrain et puis a filée vers le centre de la ville," a indiqué le Sr Zacarias.
Le Senor Sebastião Vernek "Zizi" Miranda a décrit son expérience comme suit:"J'étais là
avec mon épouse, Palmira, devant l'église sur le front de mer, quand vers environ 20:00, nous ont vu une lumière intense, orangée, arriver de la mer vers la ville. Pendant qu'elle
s'approchait, elle s'est élevée, et puis, se déplaçant rapidement, a disparu vers la partie intérieure de l'île."Le coiffeur Carlos Cardoso de Paula, âgé de 49 ans, vivant au numéro 231 de la
Travessa Deodora Da Fonseca, a eu une rencontre plus encore plus rapprochée avec des "lumières", comme il le rapporte lui-même:
Le capitaine Hollanda, de l'armée brésilienne, principal témoin de cette affaire. C'est
lui qui fit tous les croquis que vous voyez sur cette page. Son équipe filma aussi de nombreux OVNI...
"Tout le monde était à part moi était endormi. J'étais en train de fumer une dernière
cigarette quand soudain une boule de feu est entrée dans notre maison vers le haut près du pignon. Elle a commencé à tourner en rond dans la salle et puis est finalement venue très près de
mon hamac. Elle est remontée le haut de ma jambe droite jusqu'à mon genou (sans toucher ma peau). J'ai observé avec beaucoup de curiosité pendant qu'elle se déplaçait vers mon autre
jambe.
Alors j'ai commencé à me sentir faible et somnolent. Ma cigarette est tombée de ma main et je suis sorti en criant. L'aérolithe a rapidement disparu et tout le monde s'est réveillé. Je pense qu'elle avait recherché une veine dans mon corps mais n'est pas parvenu à le faire. Pendant que son éclat croissait j'ai senti une sorte de chaleur venir d'elle."
L'ouvrier Raimundo Costa Leite, très bien connu dans la ville de Colares pour sa
compétence dans les réparations des filets de pêche, décrit sa propre expérience:
"A environ 4,00 du matin, je suis allé pêcher avec mon amo "Baixinho" (Orivaldo
Malaquias Pinheiro) au large de la plage de Cajueiro. Je me rappelle que "Baixinho" a crié "regarde! Il est là" et a pris à ses jambes à son cou, me laissant seul sur la plage. L'engin était
de la taille et de la forme d'unhélicoptère, ne faisait aucun bruit, et volait très haut. J'aurais pu tirer jusqu'à lui si j'avais eu un pistolet avec moi. J'ai été terrifié quand la machine
a émit une sorte de rayon lumineux vers le bas sur la plage. Cette lumière balayait le sol, illuminant tout! C'était une lumière bleuâtre (une sorte de "lumière froide"). C'était asset
facile pour moi de le voir parce que l'engin avait plusieurs petites lumières rougeâtres sous sa cloison avant. L'engin semblait chercher quelque chose au sol. J'avais peur qu'il puisse me
toucher et, en dépit de mon état physique faible je suis parvenu à courir sur unegrande distance, et alors "Baixinho" m'a retrouvé et m'a aidé. L'objet était venu de la direction de la mer et il
se dirigeait au loin dans la partie intérieure de l'île."
En fait, tellement de gens ont rapportés avoir été attaqué par des faisceaux de lumière sortis de petits moyens ou grands OVNIS dans ce secteur que seulement quelques-uns sont mentionnés ici.
Le 20 octobre, trois femmes ont été frappées sur leur poitrine par les faisceaux de
lumière: "chacune des trois a été atteinte d'une tension nerveuse énorme et d'une sorte inconnue de lassitude" comme si elles recevaient des décharges électriques constantes" écrivit un
journal.
Ovni de Mosqueiro près de Colarès.
Dans la soirée du 29 octobre, Benedito Campos et son épouse de dix-sept ans Silvia Mara
étaient à leur domicile quand "ils ont repèré un objet ovale et argenté émettant un faisceau verdâtre comme un phare, vers la salle où ils se trouvaient. Très étonnés, ils se sont rapproché
d'une petite fenêtre et, aumoment ou ils faisaient cela, un rayon se projeta à travers la fenêtre et atteignit directement Silvia, la jetant dans une sorte d'état de transe." Silvia, qui
était alors enceinte, s'est évanouie, sur quoi deux entités sont apparemment entrées dans la maison portant quelque chose ressemblant à une torche dorée et "le faisceau a de nouveau frappé
Silvia, cette fois dans le bras gauche au niveau du poignet. Ses veines ont semblé "se soulever" comme gonflées par le faisceau qui les frappaient."
Brûlures et autres effets secondaires :
Pendant la vague des Chupa-chupa de nombreux nouveaux "sites d'observation" apparurent,
comme Pinheiro et São Bento dans l'état du Maranhão, et Viseu et Bragança dans l'état de Pará. Quelques secteurs ont en effet atteint un tel "niveau de saturation" qu'il était rare
que pass une nuit sans que des OVNIS ne soient observés.L'un de ces "épicentres OVNI" était au Nord du comté de Baía Do Sol (la Baie du Soleil) et il y eut des effets directs sur l'île de
Mosqueiro. Mosqueiro est un des plus importante des îles, et elle est la plus grande de celles qui appartiennent à la municipalité de Belém.
L'inquiétude du public était immense, tous les hommes se réunissant la nuit pour organiser une surveillance, avec des feux
et des feux d'artifice, pensant ainsi éloigner les engins. Mais rien n'a semblé faire cesser les vols des OVNIS, même pas les gens des forces aériennes avec leurs caméras et
leurs appareils photo - et encore moins la présence de journalistes de l'Estado Do Pará.Il y eut des observations fréquentes et régulieres de grands engins et de sondes ou de soucoupes
volantes, effectuant tous des manoeuvres incroyables au-dessus du comté.
Une veuve de 61 ans, Elisa Da Silva habitant rue Do Bacari, fut un des témoins de cette année 1977. Une nuit, depuis sa
maison, elle a vu une soucoupe volante apparaître. Une lumière blanche vive provenait de petites fenêtres ou ouvertures sur le dessus. Vu du dessous, dit-elle, elle semblait tout à
fait foncée et tout à fait plate. Elle a disparu vers le sud, dans un silence total.Selon l'opinion de certains des membres du GUA (groupe ufologique d'Amazonie) basé à Belém, il existe, ou
il a existé pendant un temps considérable, à un certain endroit sous Baía Do Sol une base cachée utilisée par des engins extraterrestre. Une telle idée expliquerait la constance pendant
plusieurs années, des objets volants non identifiés au-dessus de la région.
En 1981, une femme qui avait été exposée au rayons des OVNIS à Colares est décédée, il n'est cependant pas clairement établi que ce décès soit clairement lié à l'attaque qu'elle avait subie.
En 1986, non loin de Colares, deux personnes sur l'Ile du Crabe ont été découvertes "dans un état de décomposition par la
chaleur" à une période ou il y avait de nombreuses observation de boules de feu dans le ciel; la cause de leur décès est "inconnue" de toute façon. Dans le même secteur, à un autre
moment une "boule de feu" a sérieusement brûlé trois hommes qui faisaient du bucheronage sur l'Ile du Crabe; l'un d'entre eux est décédé. L'un des deux survivants, Edmundo, a eu des
blessures ouvertes de brûlure de type électrique sur le côté de son thorax, une reproduction presque parfaite de la brûlure du thorax dont avait souffert Jack Angel en Géorgie en
1974.
En 1993, à Colares, encore, une missionnaire de 32 ans et une femme de maison de 40 ans habitant l'île ont été tués, a un mois l'un de l'autre, en raison de la rencontre rapprochée avec des
OVNIS; selon l'ufologue Pratt, ces femmes "ont été brûlées sur la gorge et le thorax, de même que la majeure partie des autres personnes que le docteur a traité." Dixit Pratt: "je
connais environ dix décès qui ont un rapport certain avec des rencontres rapprochées avec des OVNIS."
Selon l'US Air Force, il n'y a jamais eu de preuves de la réalité des OVNIS ou de quelconques indications de dangers liés aux OVNIS. Selon les sceptiques... selon les sceptiques? En l'occurence les sceptiques ne disent jamais rien de ce genre d'affaires. Quant au grand public, essentiellement, il n'en a aucunement connaissance.
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