L'observation de phénomènes lumineux inexpliqués dans la nuit du 06 au 07/09/14 à Cailloux-sur-Fontaine, près de Lyon, France

Voici un article de Daniel Robin, Président de l’association Ovni Investigation qui a été témoin d'un phénomène lumineux assez exceptionnel, avec trois autres personnes (deux amis proches et sa femme, Martine) le dimanche 7 septembre vers 1h30 du matin, à Cailloux-sur-Fontaine.

Voici son témoignage :

Nous venions de quitter nos amis et nous nous dirigions en direction des quais de Saône pour rentrer sur Lyon. C’est moi qui conduisais le véhicule.

Pour rendre le récit de l’observation plus clair et compréhensible, je l’ai divisé en trois phases distinctes qui naturellement s’enchaînent les unes avec les autres.

Première phase de l’observation :

Quelques minutes après notre départ, je vis sur ma gauche, derrière une rangée d’arbres, une lumière inhabituelle qui attira mon attention.

Cette lumière était vive et blanche. Elle se déplaçait à faible altitude au-dessus des maisons et semblait suivre la route sur laquelle nous roulions.

Intrigué, je pris l’initiative de m’arrêter sur une aire de stationnement en bordure de la route.

Nous descendîmes du véhicule (moi, Martine, et mes deux autres amis) pour mieux observer ce phénomène lumineux étrange.
Heureusement, mon ami Jean-Yves eu le réflexe de faire des photos du phénomène lumineux avec son iPhone (8 millions de pixels) qui ne ressemblait à rien de connu (lanterne chinoise, avion, hélicoptère, drone, ballon, etc..). Au bout d’une minute environ, la lumière disparue derrière une colline proche.

Deuxième phase de l’observation :

Nous nous apprêtions à remonter dans notre véhicule quand je vis soudain deux autres lumières vives qui se dirigeaient vers nous.

Nous redescendîmes aussitôt pour mieux les observer.

Cette fois, il y avait deux lumières dont la taille apparente était plus grosse que la pleine lune.

A noter que la Lune était visible, mais légère dissimulée par des nuages en haute altitude. Dans la nuit du 6 au 7 septembre 2014 la Lune était visible à 86% environ. Ci-dessous, trois clichés de la Lune avec les taux de visibilité.

Nous ne pouvions en aucun cas confondre ces lumières avec la Lune.

Les deux nouvelles lumières que nous observions maintenant se déplaçaient lentement à quelques centaines de mètres de nous seulement, mais pas plus qu’un kilomètre à mon avis, à une hauteur maximale de 200 mètres environ. Elles étaient vives, puissantes, majestueuses, de couleur blanche et jaune. J’avoue que c’était un spectacle impressionnant. Aucun son en provenance des lumières n’était audible. Elles semblaient parfaitement silencieuses. Elles arrivaient vers notre groupe et nous avons eu l’impression qu’elles allaient passer au-dessus de nous. Martine n’observa pas tout à fait la même chose que moi. Elle vit non pas des lumières, mais plutôt des formes arrondies et aplaties avec des contours bien délimités. Finalement, les « objets » ne passèrent pas au-dessus de nous mais virèrent sur la droite (par rapport à leur mouvement propre) en formant un arc de cercle, et s’éloignèrent en grimpant dans le ciel en direction des nuages.

Troisième phase de l’observation :

Lorsque les lumières s’éloignèrent, nous décidâmes de remonter dans notre véhicule, mais au même moment, encore une fois, nous vîmes deux autres lumières qui venaient des Monts d’Or. Une troisième et dernière lumière suivait les deux autres à quelques distances. Le massif montagneux des Monts d’Or était situé en face de nous. Les puissantes lumières se dirigeaient à nouveau dans notre direction. Nous étions éberlués par ce spectacle.

Jean-Yves et Martine photographièrent la scène avec leurs téléphones mobiles et Jean-Yves enregistra même quatre films avec son iPhone.

Au total nous vîmes 7 grosses lumières ou formes rondes et plates (plus grosses que des phares d’avions en phase d’atterrissage) qui se déplaçaient lentement, à basse altitude et dans un silence parfait.

Ce fut un spectacle stupéfiant que nous ne sommes pas prêts d’oublier.

Les conditions météorologiques étaient bonnes, pas de pluie ni de vent, juste des nuages en haute altitude qui voilaient de grandes parties du ciel. Durée totale de l’observation : 10 minutes environ.

Nous avons reçu par l’intermédiaire du site Ovnis-Direct deux autres témoignages signalant des phénomènes lumineux inexplicables à Saint-Didier-au-Mont-d’Or vers 23h25 le samedi 6, et à Lyon au-dessus de la Croix-Rousse vers 21h, également le samedi 6.

Les témoins sont d’une crédibilité absolue. Jean-Yves est docteur en chimie et Marie-Noëlle est professeur de physique à la retraite.

Les témoins : Jean-Yves Meynard. Marie-Noëlle Meynard. Martine Robin. Daniel Robin.

Ci-dessus : vue aérienne du lieu de l’observation situé à l’intersection du Chemin des Fontaines (4) et de la Route des Prolières (5). La position du véhicule des témoins est située en (1). Les différentes positions des témoins lors de l’observation sont situées en (2) et (3). Les vidéos de Jean-Yves ont été filmées à partir de la position (2). Ci-dessous : l’intersection du Chemin des Fontaines (4) et de la Route des Prolières (5). Photo prise de jour depuis l’emplacement du véhicule des témoins (1). Le cliché a été fait depuis l’avant du véhicule des témoins.

Ci-dessus : deuxième phase de l’observation. Positionnement des deux lumières observées au moment où les quatre témoins s’apprêtaient à remonter dans le véhicule. « Nous nous apprêtions à remonter dans notre véhicule quand je vis soudain deux autres lumières vives qui se dirigeaient lentement vers nous. Nous redescendîmes aussitôt pour mieux les observer. Cette fois, il y avait deux lumières dont la taille apparente était plus grosse que la pleine lune ». Les flèches rouges en pointillées indiquent le sens de déplacement des lumières.

Ci-dessus : troisième phase de l’observation. Positionnement des trois autres lumières observées au moment où les quatre témoins s’apprêtaient à remonter à nouveau dans le véhicule. « Lorsque les deux premières lumières s’éloignèrent, nous décidâmes de remonter dans notre véhicule, mais au même moment, encore une fois, nous vîmes deux autres lumières qui venaient de la direction des Monts d’Or. Une troisième et dernière lumière suivait les deux autres à quelques distances. Les puissantes lumières se dirigeaient à nouveau dans notre direction. Nous étions éberlués par ce spectacle. Jean-Yves et Martine photographièrent la scène avec leurs téléphones mobiles et Jean-Yves enregistra même quatre films avec son iPhone ». Au total nous vîmes 7 grosses lumières (plus grosses que des phares d’avions en phase d’atterrissage) qui se déplaçaient lentement, à basse altitude et dans un silence parfait. La position des témoins lors de cette troisième phase de l’observation est située en (3) sur la vue aérienne ci-dessus. Les lumières étaient clairement visibles au-dessus des toits des maisons situées au premier plan sur les deux photos. Cela ne veut pas dire que les lumières volaient à la verticale de ces toits.

Ci-dessus : estimation de la zone dans laquelle les lumières se sont déplacées. Cette zone triangulaire est délimitée par les lignes rouges en pointillés. Le sommet de la zone est représenté par le point rouge en haut à droite qui correspond au lieu d’observation des témoins. Cette estimation est certes subjective mais elle est selon moi hautement probable.

Selon moi, les lumières venaient des Monts d’Or qui sont situés juste en face de la commune de Cailloux-sur-Fontaines. Sur l’une des photos que j’ai prise en plein jour, les Monts d’Or se profilent à l’arrière-plan (les deux photos ci-dessous). Un scénario possible de cette soirée d’observation est que les lumières venaient des Monts d’Or. Après avoir descendu le versant ouest de ce massif, elles sont passées au-dessus de la Saône et se sont dirigées vers Cailloux-sur-Fontaine dans la zone où nous les avons observées. Les Monts d’Or abritent la base aérienne 942 Lyon-Mont Verdun située au sommet du Mont Verdun. Cette base est capable de détecter tout objet volant dans un rayon d’au moins 400 kilomètres. Si les « objets » observés n’étaient pas totalement furtifs, il faut sérieusement envisager la possibilité qu’ils aient été suivis par les radars de la base 942. Nous avons interrogé la base qui nous a répondu et nous a orienté vers le SIRPA Air (Service d’Information et de Relations Publiques des Armées). D’autres personnes furent témoins cette nuit-là de phénomènes lumineux étranges au-dessus de Saint-Didier-au-Mont-D’or.

Ci-dessus : Le mont Thou est, avec ses 609 mètres d’altitude, le deuxième plus haut sommet, derrière le mont Verdun (625 mètres), Mes monts d’Or. Il est situé sur le territoire de la commune de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or. Au sommet du Mont se trouve une grosse « boule ». Il s’agit d’un volumineux radar « Palmier » construit en 1970 (100 m2 de surface, 15 tonnes, six tours par minute). Opérant 24h/24, ce radar tridimensionnel permet de connaître l’altitude, la distance et l’angle de vol des avions surveillés, dans un rayon de 400 km. Cette installation est rattachée à la base de contrôle aérien de l’armée de l’air (Base aérienne 942 Lyon-Mont Verdun). Le sommet du Mont Thou offre une vue panoramique sur l’agglomération lyonnaise, la plaine du Rhône ainsi que le massif alpin.